Citation :

HRP:

Age: 30+
Quelle est votre expérience des forums RP ? J'ai souvent joué sur des forums rp, même si c'est mon premier dans l'Univers Saint Seiya. J'ai administré durant de longues année un forum Harry Potter. Je suis assez expérimentée mais pas forcément plus que vous.
Comment avez-vous connu SSU ? En faisant une recherche sur l'armure de Cassiopée, pour voir ce qui avait été crée graphiquement par les fans. Vous étiez assez bien placé sur Google

Citation :

RP:

Âge : 15 ans

Armure demandée : Armure de Bronze du Lynx

A quoi ressemble votre personnage la première fois qu'on le rencontre ?
Il est difficile de me rencontrer à moins de vraiment le chercher. Ma démarche est silencieuse, je suis discrète et j'ai tendance à raser les murs et à fuir les foules. Je m'habille de sombre, mes vêtements sont pratiques : tunique courte sombre, sandales. On me dit ombrageuse, mais je suis simplement secrète. Un léger sourire ou un regard sont souvent plus éloquent qu'un long discourt. Mais il est vrai que je suis sombre parfois. On sent le feu couver sous mes apparences calmes.
Car le calme n'est jamais qu'un premier aspect. En regardant mon port de menton fier, et les quelques ornements rouge et or que je porte parfois, on sent que le feu couve sous la surface, comme si je contenais ma colère. Mon corps léger semble lui même prêt à bondir, à courir, à entrer en action.
Alors vous croisez mon regard, moi qui suit trop fière pour porter un masque. Vous serez étonné de voir mes yeux si clairs, si purs, en contraste avec ma peau mate et mes cheveux de jais. Même si on y décele toujours la colère et une certaine tristesse. Mon accent ne donne nul doute sur mes origines nord-ibériques. D'où viennent donc ces yeux? Un ancêtre envahisseur?
Finalement le plus sur moyen de me trouver est de lever les yeux, car je grimpe souvent dans les hauteurs des bâtiments et paysages pour m'isoler et observer le monde.


Histoire :

LE VILLAGE

Je suis née dans le nord de l’Espagne, dans la zone pré-montagneuse des Pyrénées, dans un très grand dénuement. Les wisigoths avaient conquis la région bien avant ma naissance, mais ils avaient laissé des traces ça et là, et parfois des affrontements pouvaient encore éclater. Ma mère était une fille mère délaissée par un soldat wisigoth.Nous vivions en marge d'une communauté vivant principalement d'élevage et d'agriculture. Des gens simples et frustres. Je n'étais donc pas la bienvenue dans ce monde avec mes yeux trop clairs d'envahisseur.
Je devins vite orpheline. Je n'ai que peu de souvenir de comment cela s'est déroulé. Il semble que je me sois réveillée un matin, et que ma mère ne soit plus là. A 6 ans on a encore assez de moyens pour se débrouiller un peu. Ne recevant aucune aide des villageois, je partis rejoindre la voie romaine, et ainsi gagner Osca en mendiant en chemin.


OSCA

J'y vécus une vie de mendiante avec les autres enfants abandonnés et c'est là qu'à 8 ans que je rencontrai un curieux personnage. Il était chevalier d'Athéna, détaché à Osca pour surveiller la région. Et surtout par amour pour elle il me sembla plus tard. Comme toutes les bandes organisées de gamins des rues, nous avions des activités criminelles assez larges, et pour ma part ma furtivité naturelle faisait de moi une voleuse hors-paire. C'était un travail assez dangereux, peu récompensé dans cette bourgade, et qui pouvait nous mener à perdre une main ou pire!

Mais vu l'étranger aux vêtement fins traversant le marché, je ne pouvais soupçonner son agilité. Il était aussi trop subjugué par le ravissant décolleté de la vendeuse d'amphores. J'attendais donc un attroupement pour me glisser souple comme un chat vers le doux parleur. Je fus prise de panique quand je sentit une main ferme se refermer sur mon poignet. Me contorsionnant pour le faire lâcher prise, sans succès, je plantais alors mes dents dans son bras musclé. La ruse fonctionna et j'en profitais pour m'enfuir.
Las.
Quelque soit le détour que je prenne, la petite venelle que j'emprunte, le muret que je saute, les toits que je traverse, il était toujours là... Et finalement il m’attrapa. Sa première réaction ne fut pourtant pas la colère, mais il se mit à rire, un beau rire amusé. Il plongea ses yeux dans les miens puis sans prévenir me chargea sur son épaule. Je criais, pensant à la main qu'on allait me couper, qu'il me prit sur son épaule. Et ni mes battements de poings ni mes hurlement ne le firent lâcher prise. On racontait alors parmi les gamins que parfois certains d'entre nous disparaissaient, surement devenu esclave dans des fermes. A l'époque j'ignorai que ceux là étaient parfois très chanceux.
Finalement il me posa et me mit la main sur la bouche. Il me parla de la voix la plus douce dont il était capable, me demandant si je me tairais s'il me donnait à manger. Comme je criais famine, l'échange fut vite conclu.

Dans la maison particulière dans laquelle il résidait en compagnie d'une servante, il me fut donné à manger en quantités que je pensais impossibles. L'homme me regardait d'un air amusé, et me posa des questions déroutantes. Mon âge bien sur, si j'étais orpheline, à qui j'appartenais (il parut soulagé de savoir que je n'étais pas une esclave en fuite) et aussi si j'avais l'habitude de me battre, et comment j'avais appris à être aussi discrète. Ça aurait été plutôt à moi de lui poser la question de comment il avait réussit à me suivre avec son grand corps!
Il me parla sans s'embarrasser de détails. Il m'expliqua qu'il pensait que j'avais les compétences pour devenir une grande guerrière, qu'il appartenait à un ordre qui vénérait et servait la déesse Minerve, que les grecs appellent Athéna. J'avais été élevée dans les croyances semi romaines, alors je la connaissais bien.
Il me proposa de rejoindre cet ordre, que si je travaillais dur je ne manquerai jamais de rien, je saurais toujours me défendre et que mis à part ma dévotion à la Déesse, je serais toujours plus libre que si je restais une simple petite voleuse. Il me demanda de revenir le voir quand je serais d'accord, et me mit tout simplement à la porte.

Il me fut difficile de prendre une décision. Mais la vie dans la rue était dure, plus dure encore avec mes yeux de wisigoth et mon statut plus pauvre que pauvre. La ville était petite, et on pardonnais de moins en moins leurs écarts au enfants voleurs qui grandissaient. Il y eu un coup de trop, un jour de trop, une peur de trop et je revins toquer à sa porte.
Pendant les mois qui suivirent, mon maître m'apprit les bases du culte d'Athéna, la hiérarchie, ce qu'on devait respecter, ce qu'on pouvait se permettre. Il m'apprit les bases de la lecture et des chiffres. Il me raconta beaucoup d’histoires sur le Sanctuaire. Il s'absentait souvent, ne revenant qu'après une semaine. Et un jour il me déclara que nous étions près à partir.


SANCTUAIRE

Quand j'arrivais au sanctuaire, ce fut par la mer, et ce fut une grande émotion de la rencontrer. Quelque chose de si grand, de si immense, de si insondable provoquait forcément le respect et une certaine peur que je n'ai jamais vraiment pu effacer. Ce fût donc avec soulagement que je mis le pied pour la première fois en Grèce. Le soleil tapait durement sur les rochers, les rendant blancs de lumière. La végétation était rare et rabougrie, et partout, partout, des traces antiques perduraient. Des ruines, des bâtiments, des colonnes, des amphithéâtres. Je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi magistral.
Nous grimpâmes beaucoup d'escaliers, et j'aime à penser que mon entrainement commença vraiment ce jour là! Nous avions une petite cahute adossée à un bout de falaise. En grimpant sur les rochers attenant, on pouvait voir la longue ligne blanche des escaliers des 12 maisons. C'était un endroit qui me fascinait!

Je partageais mon entrainement avec deux autres enfants;
Narsès était plus jeune que moi. Et il faisait de son mieux et était surement capable de beaucoup. Mais il pleurait souvent, était distrait, et finalement mon maître renonça à le former.Il est resté au sanctuaire et travaille dans la zone des artisans.
Theodos étaient lui le plus fort de nous trois. Mais son caractère frondeur et son désir de défier la hiérarchie lui furent fatal. Je ne sus pas exactement ce qu'il lui arriva. Mais son corps fut rejeté par la mer trois jours après sa disparition et il était clair qu'il était mort en combat.

Je continuais seule mon apprentissage, me liant au passages à d'autres apprentis, et quand on m'annonça qu'il était temps que je prouver ma valeur, je fus fière de montrer mes prouesses. Je me battis contre un autre apprenti surnommé Till, et le battit à plates coutures. Je n'avais jamais douté réussit, et l'armure me revint.



***


Cela fait un peu plus d'un an désormais. Je reste toujours très liée à mon maître. Je rêve toujours de rencontrer un Saint d'Or. Et du haut de la falaise je me demande comment je pourrais aider Athena mieux que je ne l'ai fait jusqu'à présent.

Bienvenue sur SSU.

Avant toute validation, je souhaite régler avec toi un petit détail. Si j'ai bien compris (n'hésite pas à me le dire si je me trompe), tu rencontres un Chevalier d'Athéna (donc un Saint confirmé) qui porte un glaive à la ceinture. Or cela est formellement interdit puisque notre déesse répudie l'usage des armes en dehors de celles de la Balance, et encore cela demande des circonstances exceptionnelles. Ce n'est donc pas possible (d'autant plus que la cosmo-énergie est une arme bien plus redoutable que n'importe quel arme, ils n'en ont donc pas l'utilité).

Par ailleurs, si je me suis mépris à cause de la manière dont tu le nommes, le titre de Chevalier étant réservé aux éveillés du cosmos munis d'une armure d'ordinaire, et que ce n'est qu'un garde du Sanctuaire (qui eux ont effectivement le droit de porter des armes), ils sont bien évidemment affiliés... À la garde du Sanctuaire, et donc censés se trouver dans son enceinte. Par ailleurs, le fait qu'ils aient le droit de s'équiper de la sorte vient avant tout du fait qu'ils ont échoué à devenir Saint, et donc ont perdu le droit de porter une armure et ne disposent d'aucune maîtrise du cosmos.

Je te demanderai donc de prendre une décision sur ce point et de modifier cela en conséquence, suite à quoi je te validerai sans problème.

Ah zut j'avais oublié le point sur les armes... Disons que je me disais qu'à l'époque tous les hommes avaient soit une dague, soit un glaive au côté et ne pas en avoir pouvait paraitre bizarre. Bon on est dans une époque un peu floue donc va savoir. Surtout dans la région. Mais c'était juste un déguisement pour moi. Je vais l'enlever, pas de problème.
Je n'ai pas nommé le Saint parce que je veux laisser une porte ouverte pour plus tard. On pourra alors décider de qui m'a formé, je ne suis pas contre un lien avec un autre personnage joueur.
J'édite mon histoire tout de suite.

Que tu ne le nommes pas n'est pas un problème, je tenais surtout à m'en assurer concernant son statut au sein du Sanctuaire. ^^

Le problème étant résolu, je te valide au niveau 3 avec l'armure de ton choix et 1200 XP, que tu pourras utiliser à loisir pour constituer ton deck. Je t'invite à le faire sous deux semaines si tu ne souhaites pas t'exposer à des sanctions et à en mettre le lien dans ton profil aussitôt que ce sera fait !

Encore bienvenue et bon RP à toi.

Bienvenue sur SSU !

Bienvenue à toi!^^

Bienvenue à toi.