L'agogée de Furyu

Le couperet est donc tombé, hier soir en réunion sur skype avec la quinzaine de personnes présentes pendant les 2h qu'a duré la discussion (qui ont dérivés sur 3/4 par la suite ^^).

En faisant le constat de la situation actuelle puis le bilan du …

Ici seront stipulées toutes les armures remises en libre service après la perte de leur détenteur.

Citation :: Libération d'Armure
Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser indéfiniment des armures en les mains de joueurs inactifs. À partir de deux …

Et voila, il est temps de vous faire part de notre nouveau projet...

One Piece ShinSekai RPG !

www.shinsekai-rpg.com

Un forum One Piece, depuis le temps que la team en parlait et avait l'idée en tête il était temps de franchir le cap. Bien …

Sujet: L'agogée de Furyu Jeu 24 Nov - 4:42

Chapitre 1:
Le début d'une vie de douleur

A la naissance, Alysas eut la chance d'être choisit comme enfant sain et fort, ainsi il put continuer à vivre. Tel était la loi à Spartes, toute enfant chétif ou malade serait immédiatement tué afin de ne pas faire honte à la renommée des hommes spartiates. Ses premières années de sa vie se déroulent auprès de ses parents, son père fier guerrier de Spartes et sa mère qui ne faisait au final pas grand chose de ses journées à par les taches ménagère. Cependant, comme le veut la tradition, après la courte période de fête du à la naissance de leur fils, les parents laissèrent leur enfant à la charge de la nourrice Epitate. Cette dernière était une femme aimante et avait prit le plus grand soin du jeune garçon,bien que la rudesse des spartiates soit obligatoire afin de former déjà en si bas âge des guerriers, lorsqu'aucun regards ne les observaient, il n'était pas rare de voir Epitate cajoler le nourrisson. Depuis sa naissance jusqu'à ces 5 ans tout c'est bien passé, mais rendu à cette âge quelque chose changea. Son père, qui malgré le fait d'être plus souvent absent de sa vie qu'autre chose, avait remarqué lors des rares entrainement qu'il faisait avec son fils, que ce dernier semblait faible et éprouver une pitié certaine pour ses adversaires. Ses capacités physiques n'était pas à blâmer mais il semblait éprouver des sentiments, ce qui déplaisait fortement à son père, ainsi ce dernier le mit au pied du mur. Il l'équipa et jeta un esclave armé face à lui, lui ordonnant de se battre. Le combat fut vite réglé, car même à cet âge, un garçon spartiate devait déjà maitriser des notions de combat. Son père le regarda et lui ordonna de lui trancher la gorge.

Non père, il a perdu c'est assez!

Je ne te demande pas ton avis Alysas, fais le c'est un ordre! Tu dois apprendre à obéir aux ordres de tes supérieurs et encore plus lorsqu'il s'agit de ton père! Fais le!

Je ne veux pas!

Alysas jeta son arme sur le sol et tourna le dos à l'esclave encore sur le sol. Ce dernier savait que si il restait à rien faire il finirait mort, si bien qu'il attrapa l'arme laissé à terre par le jeune spartiate et lui fonça dessus en hurlant. Quelques secondes après une lance frola le jeune garçon pour venir empaler l'esclave qui avait osé se rebeller contre son maitre alors qu'il venait de perdre le combat. C'était le père qui venait de sauver la vie de son fils, ce dernier alla enlever sa lance du corps inerte du jeune garçon puis s'approcha de son fils.

Tu vois cet esclave, lui n'aurait pas hésité une seconde à te tuer. Tu dois comprendre que si ce n'est pas toi qui tue ton adversaire, lui le fera.

Oui, j'ai compris...

Malgré que cela n'enchante guère le jeune garçon de 5 ans, les actes de l'esclave prouvait que son père disait vrai, sa vie aurait pu s'arrêter ici juste parce qu'il n'avait pas voulu tuer. Cette réflexion, il ne pouvait la faire à son âge et alla donc voir la seule personne en qui il avait confiance, Epitate. Il amorça la conversation avec le récit de ce qui venait de se passer.

Tu devras tuer mon garçon, telle est la loi à Spartes. Tu es né pour devenir un guerrier, mais cela ne t'empêche pas d'éprouver des remords à tes actions ou bien de choisir les bons combats.

Mais père maintient que dans ce monde c'est tuer ou être tué.

Ton père...

Quoi son père? Allais tu encore lui embrumer l'esprit?Je comprends à présent d'ou ses sentiments viennent, et nous allons remédier à la situation!

Le guerrier sortit la lame de son fourreau et s'apprêta à frapper la vielle femme afin de la châtier d'avoir enseigner la pitié à son fils. Mais ce dernier eut une meilleur idée, il tendit le glaive à son fils.

Tu as deux choix fils, tues la et elle mourra rapidement, ou laisse moi faire et crois moi elle souffrira plus qu'aucun être humain ne l'a fait!

Le garçon avait prit d'instinct le glaive tendu par son père, mais ne pouvait se résigner à tuer celle qui lui avait apporté tant d'amour et de tendresse dans ce monde. Cette personne était bien plus sa mère que ses véritables parents pour lui, cependant il savait que si il ne parvenait pas à le faire Epitate allait souffrir de mille façon. Ce geste, il n'est jamais arrivé à le faire, mais la nourrice prit le bout de la lame et se l'enfonça profondément dans la gorge.

Bien c'est un début, prépare toi car à présent tu vas rentrer dans un monde de violence. Je n'ai que 2 ans pour rattraper ses erreurs ensuite se sera l'agogée et prit pour ne plus ressentir aucun sentiment à ce moment la!

Sujet: Re: L'agogée de Furyu Jeu 24 Nov - 7:58

Chapitre 2
Un père et son fils

Le lendemain matin ce ne fut pas le même réveil que d'accoutumé, la tendre nourrice qui venait réveiller Alysas n'était plus et c'est son père qui vint le tirer du lit dès les première lueur du joueur. Pas de pitié, il avait préparé un sac remplis de pierres, pour l'instant le jeune garçon ne savait pas dans quel but et s'en apportait peu. La chose qui retenait son attention c'était le fouet qui venait claquer sur son dos, afin de le presser de se lever et de se tenir prêt pour commencer son entraînement. C'est surement ce qui se rapprochait le plus de sa futur agogée, sauf que lui n'avait que 5ans et non 7. Son père lui ordonna de porter ce sac de pierre et tous les deux ils sortirent de leurs demeurent, après quelques petits échauffement, le père commença à trottiner sur place en faisant signe à son fils d'en faire de même. Le début de son enfer avait sonné, il n'y avait aucun échappatoire possible et en plus il fallait y aller en courant.

Tu n'as pas intérêt à perdre ce sac de pierre, ce dernier représente le poids de ton équipement. N'étant pas encore soldat tu n'en as pas mais le jour viendra ou ce poids devra faire entièrement partie de toi mon fils. Alors maintenant courrons.

Ainsi ils prirent la direction de la sortie de la ville et continuèrent à courir au delà. Le petit garçon comprenait qu'il fallait s'entrainer pour être fort, mais de la à courir des kilomètres, il se demandait bien à quoi pourrait lui servir de courir durant plusieurs heures. Son père lui avait pourtant expliquer, mais dans sa mauvaise foi Alysas ne l'avait pas écouté. Ils travailleraient tout d'abord l'endurance et la résistance du jeune garçon, ce qui signifiait beaucoup de course à pied et de coup de fouet en perspective. Le soleil était monté dans le ciel, et la chaleur commençait à faire suffoquer Alysas, ce dernier s'écroula au sol, comme seul réconfort son père le fouetta et lui hurla dessus.

Lève toi, tu es pire qu'une femme! Tu n'as même pas fait deux kilomètres et tu es déjà par terre! J'aurais du faire souffrir cette femme qui a rendu mon fils plus faible qu'un athénien.

Au bout d'un certain temps, et plusieurs coup de fouet, Alysas avait réussi à reprendre son souffle et finalement se relever. Ils poursuivaient encore et encore, comme si cette course n'avait pas de fin, et au bout de 5km son père décida enfin de s'arrêter. Ils étaient à présent proche de la mer, et le vent marin faisait énormément de bien au jeune garçon. Son père lui raconta alors l'histoire des glorieux guerriers spartiates qui avaient tenu tête à toute une armée de perse. Cela faisait maintenant plusieurs années mais pour lui qui était un éternel nostalgique des traditions spartiates,cet événement est le point culminant de l'Histoire de Spartes. La journée était déjà passé de moitié et il restait fort à faire. Le père lança sa lance à son fils et commença à lui apprendre les rudiments de cette dernière, même si le jeune garçon avait du mal ne serait ce qu'a la tenir droite. Il fut donc forcé de renoncer et plaça donc un glaive dans ses mains.

Cette arme est d'une importance capitale, lorsque ta lance est brisée ou que tu l'as lancée sur un ennemi il ne reste que ton glaive et ton bouclier pour te défendre. Tu dois apprendre à dominer cette arme, à savoir utiliser le tranchant d'une manière à acquérir une précision mortel. Pour aujourd'hui tu vas te contenter de reproduire mais mouvements, puis par la suite nous apporterons une sorte de mannequin afin de t'apprendre à cibler certaines partie du corps. Très bien commençons.

Le père faisait un simple mouvement, du moins aux yeux du garçon ces mouvements pouvaient paraître simples, mais il comprit rapidement que ce n'était pas le cas. Lors de chaque coup, l'orientation du corps, la position des jambe et le degrés d'inclinaison de l'arme était importante, entre autre détails. Bien entendu, à chaque erreur de sa part, son père le fouettait à tour de bras. Et ce fut comme cela durant les deux années qui suvirent, jusqu'à atteindre l'age crucial de ses 7 ans. Même si Spartes ne connaissait plus sa gloire d'autre fois, son père avait assez d'influence pour qu'un vétéran se charge de reproduire l'agogée pour son fils tels que les jeunes spartiates la vivait. Un véritable homme et un véritable soldat, voila ce que voulait avoir le père du jeune garçon comme fils, un vrai spartiate. C'est à ce moment qu'Alysas s’aperçut que le véritable enfer venait seulement de commencer...

Sujet: Re: L'agogée de Furyu Jeu 24 Nov - 23:23

Chapitre 3:
Le début de l'enfer

Le premier réveil fut tout aussi douloureux que ceux de son père, si ce n'est pire. Celui qu'il devait appeler à présent maitre arrive dans sa chambre et hurla, en vérité ce n'était pas sa chambre à proprement parlé mais plutôt un dortoir commun à tous les jeunes qui participaient à cette agogée. Bien qu'ils étaient moins nombreux qu'il a plusieurs siècles encore certains jeunes avaient été invité, ou plutôt forcé à participer à cette reproduction la plus fidèle qui soit de ce que leurs ancêtres avaient du subir afin de devenir de véritable soldats et hommes. Cependant, seulement certaines familles perpétuées cette tradition, qui avait été oublié par la plupart des spartiates de cette époque, mais dans l'ombre de redoutables guerriers étaient toujours forgé au cours des années. La matinée commença par des coups de fouets afin de motiver les jeunes à se déplacer plus vite vers la cantine, la les attendaient un ridicule petit déjeuner, à peine bon pour les animaux. Ensuite pour faire digérer, ils étaient attachés à un poteau et battu à grand coup de bâton afin de varier les plaisirs. Ces châtiments corporels était censé renforcer le corps du jeune garçon afin qu'ils deviennent les guerriers les plus résistants que la Terre n'ai jamais connu. Puis les exercices commençaient par une longue course avec tout le poids de l'équipement que devait porter un soldat spartiate, et bien sur chaque arrêt était sévèrement punis. Cette fois ce n'était pas par des coups de fouets ou de bâton, mais par le glaive, à chaque fois qu'un garçon tombait ou s'arrêtait une profonde entaille était faite dans sa chaire.Autant dire que durant les premières semaines Alysas même durant les premiers mois, le jeune garçon eut le droit à son lot de blessures et de cicatrices. L'après midi n'était pas plus joyeuse, ils étaient obligés de s'affronter entre eux jusqu'à ce que l'un des jeunes sont totalement KO et ne puisse plus se relever. Son adversaire n'avait aucune chance, car il n'avait pas eut un père aussi sévère que le sien et par conséquent n'avait pas les mêmes bases que ce dernier. Il refusa de continuer le combat lorsque son adversaire tomba, pour lui il avait gagné mais son maître n'était pas de cet avis et l'attacha à un poteau et le fouetta jusqu'au sang.

Tu vas apprendre à obéir aux ordres, sinon tu ne résistera pas longtemps ici. Sache que ton père m'a donné le droit de te tuer si tu échouais à l'agogée.

Telle était la dure réalité, peu digne d'un père mais pas très surprenant venant de lui, et puis il était tellement prisonnié de la tradition que cela lui importait peu. les combats étaient de plus en plus violent de jours en jours, même si ils ne se battaient pas avec des armes, du moins pas pour le moment car ils étaient jugé trop jeunes, non pas pour mourir mais pour se combattre correctement avec, une version pour les enfants de l'agogée en somme, les combats finissaient toujours dans des marres de sang. Tels se déroulait les premiers mois de l'agogée pour le jeune garçon, il ignorait pour le moment que la suite serait encore plus violente et plus dure que ce dont il avait pu rêver. Dans son malheur, il réussit cependant à trouver des personnes qui l’aidèrent à s'en sortir, des jeunes tout comme lui, mais tout bascula le jours ou son maitre ordonna un combat entre lui et l'un de ses amis. Il avait passé le cap des 9 ans et à présent ils étaient autorisés à manier des glaives. Chacun fut armé et lancé dans l'arène.

Je refuse de me battre contre toi!

Tu n'as pas le choix, si tu n'attaques pas je le ferai, c'est cela un spartiate comprend le mon ami.

Contrairement à Alysas, le jeune garçon était fier de sa désendance et comptait bien devenir le digne héritier de son père. Malgré cette différence de mentalité les deux apprentis avaient réussi à devenir amis, mais en ce jour ténébreux tout amitié était caduque. Le garçon se jetta sur Alysas et l'attaqua au niveau du bras, par chance ce dernier put esquiver, mais lorsqu'il fit une pointe, la lame eraffla le bras du jeune spartiate. Il était sérieux, il fallait tout de même se défendre et malgré sa vitesse qui était devenu sa force vut qu'il essayait d'éviter au maximum les coups plutôt que d'en donner, il arriva à esquiver et parer, jusqu'à ce qu'une attaque lui frôle la gorge, par réflexe il retourna sa lame et le tranchant vint trancher la gorge de son ami qui tomba au sol.

Non c'est pas possible, tiens bon!

Trop tard, personne ne pouvait survivre à une telle blessure, dès lors une colère sans nom envahit Alysas qui se jeta même à l'attaque de son maître, mais fut bien vite stoppé. Quelque chose changea en cette heure sombre, quelque chose qui ne reviendrait pas et dont son père serait fier si il le voyait. Alysas était entrain de mourir petit à petit, le jeune garçon innocent s'éteignait pour laisser place à un véritable guerrier spartiate sans la moindre peur ni pitié...

Sujet: Re: L'agogée de Furyu Ven 25 Nov - 7:20

Chapitre 4:
La naissance d'un véritable spartiate

Depuis la mort de son ami, Alysas avait complétement changé, lors des punitions ou des entrainements plus aucun son ne sortait de sa bouche. Inconsciemment le jeune garçon c'était fixé un but, celui de son ami en réalité, devenir le meilleur guerrier possible, tout cela en ne trahissant pas sa mentalité de respect de ses adversaires. Mais à présent, il avait compris que se faire des amis ici apportait plus de mal que de bien car on ne sait jamais quand on serait confronter à eux. C'est ainsi que sa nature solitaire est né, il ne se souciait plus de personne et faisait sa vie en ignorant le regard des autres, tous à l’exception d'un seul, celui de son "maitre". Le jeune garçon c'était fixé comme but d'ôter la vie à celui qui l'avait obliger à se battre contre son ami. Pour cela, Alysas redouble d'effort, il ne tombait quasiment plus lors de la course, et les rares moment de libres dont disposaient les recrues, il les occupait en s'entrainant d'avantage au maniement du glaive. Le jeune garçon commençait à se renforcer petit à petit, et ayant atteint l'âge de 11 ans il s'empressa de demander un second glaive à celui qui le former, en disant que le sien c'était fêlé suite aux entrainements intensifs qu'il s'infligeait. Etant devenu l'une des recrues phare de cette agogée, il ne lui refusa pas, mais en réalité il s'entrainait à un tout autre style de combat dans l'ombre. Les soldats spartiates doivent apprendre à manier la lance et le glaive, mais leur autre main est totalement occupé par un lourd bouclier, ce qui rend les gestes plus lents, sans compter que cet objet est une véritable gêne dans chaque mouvement et même dans la vision de son adversaire. Cependant, la tradition l'obligeait à suivre des leçons avec un bouclier, ce qui ne l’empêchait pas de s'entrainer à deux glaives durant ces temps libre. Au début il constata que ces mouvements étaient bien plus rapide et précis avec deux armes plutôt qu'avec un bouclier, cela avait un inconvénient pourtant. En effet, il n'avait plus la puissante protection qu'offrait le bouclier spartiate, une meilleure attaque en sacrifiant sa défense, tel était son choix.

Au cours des mois il s'entraina donc à palier à cette faiblesse, pour cela il devait acquérir une rapidité encore supérieur afin qu'il puisse se servir à la fois d'une arme pour attaquer mais aussi pour se défendre. Dans la perspective d'un combat contre un voleur, ou un simple bandit voir même un soldat d'une autre cité sa vitesse devrait être suffisante. Seulement voila, il était à Spartes, la ville ou l'on formait les meilleurs guerriers, du moins pour ceux qui en respectent encore les traditions, et justement l'homme qu'il cherche à abattre est non seulement un homme qui a suivit ces traditions à la lettre mais un guerrier émérite qui a connu de nombreuses batailles. Qu'à cela ne tienne, il ne se décourageait pas et voyait les progrès qu'il accomplissait, seulement se battre contre des objets ou contre l'air n'a rien de comparable avec un véritable adversaire. Il dut donc modifier quelque peu son travail surveillé, dans le sens ou à présent il essayer de se servir le moins possible de son bouclier afin d'acquérir la dextérité et la rapidité nécessaire contre un véritable opposant. Au bout d'un entrainement acharné de deux ans et ayant atteint l'âge de ses 13 ans il jugea le moment de défier sa cible. Le jour est arrivé, et après une victoire éclair sur l'un de ses camarades, Alysas défia son maitre.

Tu n'y penses pas? Je reconnais tes progrès mais te mesurais à moi serait pur folie gamin.

Ou bien vous avez juste peur avouez le!

Il n'en fallait pas plus pour que l'homme mette son armure et s'arme de son glaive et de son bouclier, pour venir finalement devant Alysas. Ce dernier jeta son bouclier à terre et attrapa le glaive qui trainait à terre, à présent, avec ses deux armes il devrait pouvoir le vaincre. L'homme fut tout d'abord surpris et refusa d'attaquer dans un premier temps, mais sous les coups répétés de l'adolescent, il n'eut pas d'autre choix que de se défendre. La cadence de frappe et la précision d'Alysas était bonne, mais il n'avait pas l'expérience, le guerrier attendait que ce dernier se jette sur lui afin de répliquer avec violence contre le jeune garçon. Il devait se calmer, attaquer de face sans stratégie ne mènerait à rien, il fallait observer et analyser le moindre de ses mouvements en portant de petites attaques sans le moindre risque de retour. Alysas avait trouvait une idée, dangereuse certes mais tellement improbable que le spartiate ne la verrait pas arriver. Il se lança à l'assaut de son pseudo maitre et piqua vers son visage ce dernier tenta de créer une ouverture en voulant écarter la lame avec son bouclier, mais profitant de la force donné par le guerrier, le jeune garçon roula sur le bouclier pour se retrouver finalement derrière son adversaire et sans plus attendre il planta son glaive dans le dos du guerrier, ce qui le transperça.

Te voilà devenu un vrai spartiate Alysas, ton père sera fier de toi...

Ce n'est pas pour lui que je fait cela mais pour moi!

De son autre épée il trancha la tête de l'homme agonisant. Dans toute autre civilisation, il aurait surement était punis voir tué pour avoir lever la main sur son maitre, mais à Sparte il était à présent vue comme un héros. Un adolescent de 13 ans ayant vaincu un puissant soldat. Dès lors, il ne fut plus obligé de se cacher pour s'entrainer avec ses deux armes et eut le droit de poursuivre l'agogée en combattant de la manière qu'il souhaitait...

Sujet: Re: L'agogée de Furyu Sam 26 Nov - 4:11

Chapitre 5:
La rencontre d'un père et d'un fils

Voila maintenant plusieurs années qu'Alysas poursuit son Agogée. Arrivé maintenant à l'âge de 15 ans, la fin de cette dernière approche et son caractère a complétement changé. Il ne fait plus confiance à personne, est devenu un soldat qui malgré le respect de ses adversaires n'éprouve plus la moindre pitié en vers un vaincu et comme tout spartiate il a un amour pour le combat. Son style de combat atteint un haut niveau et il fait parti des meilleurs jeunes sortis de cette enfer. Pourtant, au fond de lui,l'être humain qu'il est trouve qu'il manque quelque chose dans sa vie, sans trop savoir ce que c'était. Le spartiate fit alors la seule chose qu'il savait faire, s'entrainer à devenir un meilleur gagner et combattre pour la gloire de Sparte. Les ennemis continuaient de défiler au fils des après midi, la plupart en était à plus de 20 essais et ne se décourageaient pas pour autant, en fait cela les excitaient rien qu'à la pensée d'un nouveau combat. Mais le résultat finissait toujours de la même façon, l'adversaire se retrouvait au tapis, cependant il se relevait sans arret, l'idée de battre Alysas et d'en acquérir la gloire était un rêve trop beau. En ce qui concernait les combats c'était ainsi qu'ils se déroulaient, qu'en à la course, et bien le jeune homme ne s'arrêtait plus et parvenait même à courir rapidement jusqu'à la fin du parcours. Tout se passait pour le mieux jusqu'à sa visite, oui cet homme avait surement entendu parlé des exploits d'Alysas et comptait bien le voir de ses propres yeux. Vous avez surement compris de qui il s'agissait, son père, l'être qui lui avait fait endurer toutes ces épreuves et qui avait tué la seule personne qui l'avait réellement aimé devant ses yeux, ou plutôt fait tuer cette personne. Son père s'avança alors que l'entrainement au combat allait commencer, le jeune homme vit une occasion parfaite de lui faire comprendre qu'il n'avait plus rien à envier à son géniteur.

Bonjour père, ainsi vous êtes venu voir ce dont j'étais capable en personne?

Mon fils, la fillette que j'ai connu devenu l'une des meilleurs recrues de cette agogée, bien entendu que je veux en être témoin afin d'être sur que c'est bien de toi qu'on parle.

Si vous en doutez peut être voudriez vous vérifier vous même?

Une invitation et bien soit, je vais enfin voir si tu es devenu un vrai spartiate.

J'attendais ce moment avec impatience.

Les deux hommes s'équipèrent chacun de leur côté, l'un avec les armes traditionnelles des spartiates, l'autre avec ses deux glaives. En voyant cela, son père ne put s’empêcher de sourire même si les rumeurs l'avait prévenu, il ne pensait pas que cela été fondé. Le moment était venu, les deux guerrier se regardait et lorsqu'on leur donna le signal ils foncèrent l'un sur l'autre. Pour le moment le père restait sur la défensive, ayant du mal à parer les coups mais ne cessant de sourire, ce combat lui plaisait et lui prouvait que son fils était devenu un homme. Mais bientôt le jeune garçon allait comprendre qu'il avait encore bien des choses à apprendre. Il fit voler son fils dans les airs avec son bouclier pour le rabattre au sol grâce à sa lance. Dès lors, le combat était terminé, le pic était pointé sur la gorge du jeune garçon.

Tu as fait des progrès, mais il te reste encore des choses à apprendre si tu veux me battre.

Un jour je le ferai père!

Mais j'y compte bien mon garçon.

Le père posa son équipement et salua l'encadrement avant de repartir dans son doux foyer. Ainsi Alysas n'était pas encore prêt à se battre contre son père, cette défaite le renda encore plus dur en vers lui même, dans son entrainement et ses punitions. il c'était fait une promesse à lui même et la tiendrait, peu importe le prix...

Sujet: Re: L'agogée de Furyu Sam 26 Nov - 8:15

Chapitre 6:
Une rencontre qui changea son destin

Cela faisait 1 ans depuis sa défaite contre son père, et le jeune homme c'était entrainé plus que durement durant cette année.Lors de la course matinale, il demanda aux instructeur de lui créer un parcours plus long ou ils poseraient des pièges mortels si non esquivé afin de rendre la tache plus difficile, ce qu'ils furent. Ils camouflèrent des fosses avec pic à la réception, placèrent des soldats en embuscade et des archers sur tout le parcours, et comme si cela ne suffisait pas, chaque arme était trempé dans du poison, rendant toute blessure, même superficielle, mortelle. Ainsi, en plus de devoir faire la course en un temps fixer, ils devraient esquiver les flèches, affuté son attention aux moindres bruits alentours et observer le sol avec une acuité prononcée. Peut être que cela était de la folie pour la plupart des recrues, et même des instructeurs, mais cela permettait d'améliorer son esquive, affutés ses sens de l'ouïe et de la vue tout en continuant de renforcer son endurance, un exercice parfait pour un soldat spartiate. Le parcours était intéressant et même si les fosses ne changeait pas de place, les archers et les soldats en embuscades changeaient tous les jours, si bien qu'il lui était totalement impossible de connaitre leurs position à l'avance. Cependant un jour, il y eut un incident, à trop vouloir jouer avec le feu on se brûle, leçon qu'aller apprendre Alysas. Ce dernier avait demandé d'augmenter la difficulté à chaque journée, ce que les instructeurs faisaient et alors que son dernier jour de l'agogée c'était levé et qu'il terminait la course, des archers étaient postés à la fin et même si le jeune put esquiver la plupart, ne s'attendant pas à cette chose, une des flèche vint lui érafler le bras. Aussitôt, le guerrier se mit à être prit de vertige, les instructeurs se précipitèrent afin de l'évacuer et de l'emmener chez la personne qui avait fournie le poison et qui fournissait les remèdes à toute la cité. Mais durant le voyage, Alysas tomba inconscient.

A son réveille une fille de son âge se trouvait à ses côtés, il fut surpris car c'était la première fille, à parte sa mère et sa nourrisse qu'il rencontrait. Il crut tout d'abord être mort et rêver mais la douleur le ramena vite sur Terre. Pour l'instant elle ne semblait pas avoir remarqué qu'il était réveillé, étant de dos cela lui aurait était difficile. Mais qui pouvait être cette personne, et surtout ou était il au juste? Ces derniers souvenirs étaient la flèche empoisonné qui lui touchait l'épaule. Comment cela se pouvait il qu'il soit encore en vie, était ce cette fille qui venait de le sauver. Elle se retourna vers lui et lui sourit, cette douceur... cela faisait bien longtemps qu'il ne l'avait pas vu,depuis la mort d'Epitate en réalité. Ses traits de visages étaient fins, trahissant sa douceur, et lorsque le spartiate tenta de se relever elle se précipita pour le coller sur son lit. Sa peau était si douce et chaude, son premier contact avec une femme et il ignorait même jusqu'à son nom. Le guerrier ne força pas et se rallongea, puis la jeune fille prit une chaise et s'assit à côté de lui. Cette sensation qu'est ce que c'était? Son coeur s'emballait plus cette fille se rapprochait. Il n'avait jamais ressentit cela, Alysas était à la fois ampli d'un profond bonheur mais aussi d'une grande peur.

Il s'en est fallu de peu, je doutai même de ton réveil, heureusement j'ai réussi à te sauver. Je me nomme Briséa, c'est moi qui est fournie le poison pour ton entrainement, même si je m'y suis opposé je n'ai guère eut le choix. Je soigne également les malades de la cité, ce qui m'a désigné pour te guérir.

Mais ce poison n'était pas mortel?

Si, si il avait pénétré plus profondémment je n'aurai rien pu faire, par chance elle t'as seulement égratiné, et la rudesse de ta peau à minimisé le contact avec ton sang. Et quel est le nom de mon patient.

Excuse moi, je n'ai même pas prit la peine de me présenter, je suis Alysas.

Et bien enchantée.

Avant même que le jeune garçon n'est pu la remercier, un de ses instructeurs entra dans la pièce et demanda à Briséa de les laisser seul. Il lui annonça que son examen final aurait lieu, mais qu'il devait rester une semaine ici afin de faire disparaitre toute trace de poison, jusqu'à ce moment, Briséa s'occuperait de lui. Il le salua et s'en retourna à ses affaires. Ainsi il devrait rester avec cette fille durant une semaine, cette nouvelle le rendait heureux mais aussi terriblement inquiet. Il ne se doutait pas encore que cette fille allait changé sa vie à tout jamais...

Sujet: Re: L'agogée de Furyu Lun 28 Nov - 7:37

Chapitre 7:
La mort est partout

Voila déjà plusieurs heures que son instructeur était parti lui annonçant la nouvelle de sa cohabitation avec Briséa, et bien entendu son repos forcé. Cela lui était tout simplement impossible, comment un guerrier comme lui pouvait se laisser aller à se reposer alors que dans une semaine aurait lieu la plus importante épreuve de sa vie. On lui avait bien entendu enlever son équipement comprenant ses armes afin que la tentation ne soit pas trop grande, qu'à cela ne tienne, un peu d’entrainement au combat à mains nues ne ferait pas de mal, d'autant plus qu'il avait quelques peu négligé ce style de combat ces dernière semaines. Le jeune homme se leva la plus délicatement possible du lit afin de ne pas avertir son chaperon qui ne devait pas être loin. S'habillant sommairement, il ouvrit la porte et regarda si personne n'était la, par chance la voie était libre. Il s'empressa de sortir dans la cours extérieur de la somptueuse bâtisse et commença son échauffement. Le spartiate ne se doutait pas encore qu'il était observé et commença ses mouvements, précis et rapide, un arbre ferait le mannequin de fortune parfait pour cet entraînement. Mais alors que l'écorce de l'arbre semblait souffrir des coups, perdant de plus en plus d'écorce, l'espionne apparut au grand jour.

Je te pris d'arrêter s'il te plait. Je me doutai que tu ne pourrais te retenir de t'entraîner mais cet arbre ne semble pas t'avoir fait le moindre mal.

Ce n'est qu'une plante, et à moins de trouver mieux, c'est la seule surface sur laquelle je peux frapper.

Oui c'est une plante, et c'est également une plante qui t'as sauvé la vie. Pourquoi êtes vous obligé de vivre dans un monde remplis de violence. Il y a temps de chose à voir et à explorer dans ce monde sans verser le sang d'innocents trop borné pour penser par leur propre volonté.

Ce monde de violence comme tu le dis est la réalité. Tout comme toi je pensai que l'on pouvait éprouver pitié et compassion pour autrui, mais même un ami mit au pied du mur se retournera contre toi pour te tuer. Alors dis moi à quoi bon confier ta vie ou tes sentiments à d'autres personnes que toi même?

Je vois, ainsi tu penses que tout le monde est mauvais ou cache un tel côté en lui? Ma foi je ne peux que te donner raison, à l'exception faite que certaines personnes ont appris à contrôler ce côté et vivent en paix avec les autres, alors pourquoi pas toi?

Car je suis un soldat, un spartiate et mon rôle en ce monde est de devenir le meilleur guerrier possible afin de servir Ares et protéger ma cité, dont tu fais partie si je ne m'abuse.

Ainsi c'est la ta vision... Pourtant tout le monde à le choix de la route à suivre...

Briséa disparut laissant Alysas seul, mais ce dernier ne reprit pas l'entrainement et compris le point de vu de cette jeune femme, bien qu'il pensait différemment. Si la vie l'avait épargné de vivre dans la souffrance, ce n'était pas le cas du guerrier et alors qu'il se dirigeait vers sa chambre, un employé de Briséa l'intercepta avant que ce dernier n'est pu quitter le jardin.

Je suis désolé seigneur mais j'ai entendu votre conversation avec dame Briséa et je pense qu'il serait bon que vous sachiez quelque chose à son sujet

Et bien parle je t'écoute.

Il y a de cela deux ans, les parents de cette charmante femme l'élevait dans l'amour et la compassion, du moins c'est ce qu'elle pensait. Jusqu'au jour ou son propre père arriva avec deux autres soldats à la maison, ils accusèrent sa mère de trahison en vers Spartes, car elle disait à sa fille de ne pas suivre les règlements de cette ville barbare. Elle fut donc exécutés sous ses yeux, trahis par son amour. Donc voyez elle a elle même subit la trahison, et si je ne m'abuse bien pire que la votre,je pense que cela vous fera réfléchir à deux fois avant de lui donner des leçons.

Et toi tu devrais réfléchir à deux fois avant de me parler sur ce ton! Soit retourne à ta tâche.

Alysas reprit le chemin de la route, sans châtier cet homme qui avait osé lui parler de haut, ce qui n'était pas à son habitude. Cependant, durant tout le trajet le jeune garçon ne put s'empêcher de penser à l'histoire qu'il venait d'apprendre sur Briséa. Lui qui pensait qu'elle avait été épargné par la vie, il se trompait lourdement et venait seulement de comprendre son erreur, il demande à un employé de demander à la jeune fille si elle souhaiterai diner en sa compagnie ce soir et ainsi il espérait pouvoir s'excuser et en apprendre plus sur celle qui lui avait sauvé la vie. A Sparte tout le monde est élevé dans la violence, que ce soit à notre époque ou dans le passé, car même si certaine tradition sanglante sont passé, cette cité reste un ville guerrière ou le sang a toujours raison, et ça Alysas ne devait pas l'oublier afin de ne pas reproduire une telle erreur. En attendant l'heure du diner il se coucha sur son lit, repensant à Briséa mais aussi à ce qu'avait tenté de lui apprendre Epitate à l'époque, ces deux femmes se ressemblaient dans leurs manière de pensée, et c'était surement de telle personne qui avait fait évolué Spartes ces derniers siècle. Pourquoi avait il emprunté la voie de la violence? Car personne ne c'est montré digne de confiance jusqu'à aujourd'hui et que la seule personne qui lui est resté fidèle jusqu'à la fin l'avait payé de sa vie. Alors à quoi bon s'attacher lorsqu'on vous prive de ce que vous aimez? Pourtant cette fille... Alysas ne pouvait l'expliquer, mais il était attiré par cette fille, il ressentait une chose qu'il n'avait encore jamais éprouvé, et bientôt il apprendrait ce que c'était.

Sujet: Re: L'agogée de Furyu Jeu 8 Déc - 6:45

Chapitre 8:
Ce nouveau sentiment

La jeune fille avait accepté l'invitation à dîner d'Alysas, ce dernier était impatient de la revoir après ses remarques faussement fondée sur elle. Après tout ce n'était pas sa faute, ignorer une histoire qui a surement été enfouie par les politiciens les plus véreux qui soit, ne pouvait être qu'ignorée. Le jeune homme se prépara pour aller souper, se laissant aller à des pensées le surprenant lui même. Il s'imaginait loin de Spartes, loin des règles et de la guerre, aux côtés de Briséa, fonder une famille et cultiver la terre pour vivre, une vision idyllique mais pas pour un soldat de Spartes. Pourquoi se mettait il à penser de telles choses? Ce n'était vraiment pas le moment alors que son examen final approché, se laisser attendrir de la sorte ne provoquerait que sa mort, et peut être même celle de son hôte si son père l'apprenait. Le grec reprit ses esprits et se dirigea vers la salle principale de la somptueuse demeure, ou les attendait leur dîner. Briséa était déjà la, debout à regarder le clair de lune, attendant sans doute celui qui l'avait invité. Le guerrier s'avança discrètement pour se retrouver juste derrière la jeune fille, l'odeur de son parfum le rendait complètement fou. Quel était ce sentiment, mais as respiration dévoila sa position et certainement ses sentiments.

Ainsi vous voila. Je commençai à me demander si vous n'aviez pas annulé. Est ce que tout va bien?

Non, désolé j'ai eut un petit contre temps, et pour tout vous dire, je ne sais pas trop comment je vais.

C'est normal après avoir subit la blessure d'un tel poison. Asseyons nous, le dîner nous attend.

Alysas le savait très bien, cela n'avait rien à voir avec le poison, bien que cela lui aurait facilité la vie. Il souffrait d'un autre mal, bien plus dévastateur pour un soldat de Spartes, mais il ne connaissait pas encore son nom. Ayant était élevé dans la violence, les signes d'amour qu'il avait vu n'avait jamais été entre deux personnes du même âge, c'est tout juste si il avait connu l'amour d'une mère pour son fils, et bien sur personne ne lui avait enseigné ces choses. Tous les deux allèrent s'assoir à table ou le dîner les attendait, mais avant de manger, le jeune homme souhaitait clarifié les choses sur son attitude de tout à l'heure.

Si je vous ai invité ici c'est tout d'abord pour m'excuser.

Vous excuser,comment cela?

J'ignorai votre histoire et j'ai porté un jugement trop hâtif, je n'aurai pas du tenir les propos que j'ai eut.

Ainsi vous n'êtes pas si perdu et totalement voué à la guerre, cela me fait plaisir. Laissons le passé derrière nous, personne ne peut le modifier, concentrons nous sur le futur.

A l'avenir je vous jure que personne ne vous fera plus le moindre mal, je vous protégerai de tout danger.

A la suite de ces mots, il eut un mal aise, pas de la part d'Alysas mais de Briséa qui elle savait très bien ce que signifiait ces paroles dans la bouche d'un soldat, bien que très maladroite. Le dîner se poursuivit sans le moindre mot, mais le jeune homme ne pouvait s'empêcher de la regardait, et quand elle croisait son regard un nouveau mal aise s'installer. Bien sur le jeune homme ne connaissait pas cela, et ainsi ne comprenait pas pourquoi elle semblait si gênait. A la fin du repas, Alysas insista pour ramener son hôte à sa chambre, et avant qu'ils ne se quittent, il ne put s'empêcher de reprendre la parole.

Je ne sais pas ce qui m'arrive, j'ai cette sensation bizarre à chaque fois...

La jeune fille s'avança et embrassa Alysas avant qu'il ne put terminer sa phrase. Ce geste, qu'est ce que cela représentait? Il n'en avait pas la moindre idée, mais à présent il se sentait heureux comme il ne l'avait jamais été, et quand leurs lèvres se détachèrent l'une de l'autre Briséa reprit avec ces simples mots.

Cela s'appelle l'amour, et j'éprouve la même chose.

La jeune femme ferma la porte laissant Alysas avec de nombreuses interrogations...

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L'agogée de Furyu

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