Citation :

HRP:


Age: 24


Quelle est votre expérience des forums RP ?

Hiashi Hyuga sur Cité Ninja (5 ans), Kaede Sachiko sur Rise of Shinobi (1 an et demi), Jack Horner sur Solaris (le temps que ca a duré)


Comment avez-vous connu SSU ?

Annonce sur Solaris et Rise of Shinobi

Citation :

RP:

Nom : Alpharius.

Âge : 24.

Armure demandée : Armure d'Or du Bélier

Alpharius est quelqu'un que l'on remarque de loin. Un type imposant, qui impressionne par sa carrure même sans armure. Malgré cet avantage physique qui devrait lui procurer un charisme indéniable, il reste un personnage relativement secret et renfermé, il n'aime pas le contact humain, même avec ceux qui peuvent se targuer se faire partie de son cercle intime. Il est en outre un homme de principe, qui même s'il n'en fait pas souvent mention est profondément attaché à la justice, considérant de facto que le devoir de ceux que la nature a gâté est de protéger les plus faibles.

Cette manière de pensée est sans doute due à son passé tumultueux. Ce passé qui le poursuit en fait ce personnage austère qui incommode les gens aux mœurs sociales plus épanouies. Si malgré l'influence de sa constellation protectrice Alpharius peut sembler peu dynamique, au combat il fait preuve d'un savant mélange de vitesse et de force. S'il n'approche certes pas de la perfection dans tous les domaines, il peut se vanter d'être un guerrier assez polyvalent. Son véritable atout étant son sens inné de la tactique, profitant des préjugés de ses adversaires qui ont tôt fait de le considérer comme une brute épaisse à cause de sa masse musculaire supérieure à la moyenne.

Au niveau physique par ailleurs, il arbore un crâne chauve, non pas qu'il perde ses cheveux à son âge, mais il préfère cette apparence qui ne nécessite pas d'entretien outre mesure. Son corps musculeux est lui couvert de cicatrices datant d'avant même son accession au rang d'apprenti Chevalier. Cependant peu de personnes savent comment il a put les acquérir étant donné le jeune âge auquel il a commencé sa formation.

• Perse, en 430 après Jésus-Christ.

La guerre entre les Sassanides et les Huns Hephtalites faisait rage depuis plusieurs semaines déjà. Notre bon roi Vahram menait fort bien ses armées contre l'envahisseur désireux de s'approprier les terres des enfants de Darius. Une revendication prise comme une véritable insulte pour notre peuple, considéré comme des égaux et des frères par l'Empire Romain cette nation bénie des Dieux. Mais comme dans toute les guerres, il y'avait des sacrifices à concéder, et comme dans toutes les guerres les sacrifiés n'ont que rarement voix au chapitre.

Le village d'Aphélios n'avait jamais rien demandé à personne. Ses habitants étaient vaguement au courant que la guerre contre les Huns faisait rage, mais personne ne les avait prévenu que Ruga, Roi de cette peuplade de l'Est et son fils Attila, marchait droit sur eux. Personne non plus ne leur avait raconté comment l'Etat major de leur bon roi avait décidé que leur village, leurs possessions et même leurs vies étaient des biens négligeables pour attirer les hordes barbares, ni que la destruction d'Aphélios permettrait de faire gagner le temps nécessaire aux Perses pour prendre une position favorable contre l'Armée Hun.

C'est dans cette béate ignorance que les villageois commençaient leur journée aux premières lueurs de l'aube. Alpharius, fils Démétrios, n'était âgé que de 4 printemps, encore trop jeune pour aller travailler aux champs, mais trop vieux pour rester accrocher à sa mère. Par cet heureux hasard il fut le premier à apercevoir la horde de cavalier qui descendait dans la prairie, sans pour autant comprendre de quoi il s'agissait, alors que lui-même explorait le monde au alentour du village.

Il s'émerveillât devant autant d'hommes et de chevaux, devant le soleil qui brillait de mille feux en se reflétant sur les armes polies des cavaliers. Il leur fit de grands signes de la main, mais il ne reçut pas de réponses. Peut-être n'avait-il pas été vu, ou bien peut-être que cette troupe impressionnante ne s'intéressait pas à lui. Dans tout les cas le petit Alpharius constatât rapidement que son centre d'intérêt se dirigeait droit vers le village. Il courut aussi vite qu'il le put, sans aucune crainte cependant, simplement par jeu, tentant d'arriver le premier, avant ces milliers d'hommes. Ce fût le millier d'homme qui remporta la victoire.

Quand il arrivât il ne reconnu pas l'endroit où il était né. Le feu et l'odeur du sang l'assaillait de toute part, et quand il fût emporté sauvagement par quelqu'un il se mit à pleurer. Heureusement il comprit rapidement à l'odeur et à la texture de la peau du ravisseur qu'il s'agissait de sa mère, qui fuyait. Le jeune garçon ne comprenait pas, il voyait sa maison en flamme au loin, et celle du vieux Mesios aussi, et celle du forgeron, il y'avait tant de monde dans les rues boueuses, comme lors des fêtes. Mais il n'y avait ni banquet, ni chansons. Seulement des hurlements primaires et la chaleur lancinante des flammes.

Alpharius fût soudain projeté sur le sol, le visage dans la boue. Il continuait de pleurer. Il vît tout de même sa mère être entrainée sur le sol par un massif guerrier qui la tirait par les cheveux. Par bonheur il ne put jamais savoir ce qu'il advint d'elle, car au même moment il fût lui aussi saisi au col et soulevé de terre. Il ne cessa pas un seul instant de pleurer, même une fois qu'il eut percuté le plancher rude d'une charrette remplie d'enfant d'âges variés et que celle-ci se fût éloignée des cendres de son village de plusieurs kilomètres. Il pleurât jusqu'à ce que ses yeux deviennent secs, et là il s'enferma dans le silence, comme tous les autres enfants captifs.

• Pannonie, Empire Romain, en 436 après Jésus Christ

Le marché était bondé, et les chaines à ses poignées le faisaient atrocement souffrir. Pourtant il n'avait pas à se plaindre. Depuis la défaite des Huns Hephtalites il avait échappé aux maltraitances qui caractérisaient son éducation en temps que serviteur. Il n'empêchait qu'il restait un esclave et que si les Romains se montrait plus attentionné quand à l'état de la marchandise, il n'était pour eux qu'un simple objet de luxe. Il avait été vendu à un vieux Consul par Bleda, le Hun qui le possédait avant çà. De ce qu'il en savait Alpharius connaissait Bleda pour être le cousin d'Attila, et il avait été vendu dans un lot d'offrande diplomatique en vue de prendre le contrôle de la Pannonie. Mais à vrai dire pour un esclave ces tergiversations politiques n'avaient que peu de sens.

Aujourd'hui le vieil Arodote était mort, et ses biens matériels revendus par ses fils. Y compris un petit esclave dont l'utilité comme domestique n'intéressait pas la descendance du consul. Il faut dire qu'Alpharius était loin d'être un serviteur efficace. Il ne mettait pas beaucoup de cœur à l'ouvrage et malheureusement ne présentait pas de talents accrus dans un domaine ou dans un autre.

Il frotta ses poignets en grimaçant, observant la foule au pied de l'étale, et ne prêtant même plus attention aux cris du commerçant qui vantait les mérites largement exagérés de ses produits humains. Le voisin du jeune garçon lui donna un coup de coude en lui portant conseil.

- Tu devrais sourire, un sourire ca aide. Les bons maitres aiment les esclaves souriant.

Alpharius acquiesça sans pour autant sourire d'avantage, après tout à quoi bon sourire, quand sa seule perspective d'avenir est celle d'être conduit comme du bétail jusqu'à la fin de ses jours. Même si il finissait dans une famille riche et agréable, au final il lui manquerait toujours sa liberté.

A la fin de la journée, le vendeur d'esclave faisait son compte sous le regard désabusé de ses invendus. Il termina rapidement son travail, avant de se tourner vers ses produits. Il l'inspecta grossièrement comme il en avait l'habitude, cherchant toujours des défauts ou des blessures incommodantes qu'il ne manquerait pas de dissimuler lors de la prochaine journée de vente. Titus, car c'était son nom, n'était pas un mauvais homme hormis sa malhonnêteté marchande, après tout la vente d'esclave était un métier comme un autre.

Il fût interrompu par un client de dernière minute qui demanda à inspecter les esclaves. Ravi de faire un profit inattendu Titus accepta et ce malgré l'empressement du client à lui demander de se taire quand il commença à vanter sa marchandise. Alpharius observa l'homme de haute stature et de bonne santé qui se penchait sur chaque esclave pour leur murmurer quelque chose. Il écoutait une réponse, puis continuait son chemin vers le prochain. Quand il arriva à Alpharius il l'observa et lui posa une question à voix basse.

Chez moi, les esclaves sont très bien traités, deux repas par jours, des soins réguliers, et pas de maltraitance. Penses-tu faire l'affaire ?

Alpharius observa l'homme sans mot dire, il ne semblait pas aussi enjoué à répondre que ses prédécesseurs. Il répondit.


L'homme ouvrit grand les yeux avant de continuer son inspection sans répondre au manque d'entrain du jeune garçon. Finalement au bout d'une dizaine de minutes, il revint vers Titus et lui murmura quelques mots. Alpharius nota la surprise de son propriétaire quand celui-ci écouta le client. Il se dirigea vers lui, et à la grande stupeur du garçon il lui signala qu'il appartenait maintenant à Eos, un noble marchand Grec.

Sur le chemin aucun mot ne fût échangé entre les deux nouveaux compagnons de route. Au bout d'un moment, Alpharius recommença à se frotter les poignets, son nouveau maître glissa un regard au jeune homme et soudain il lui lança les clés de ses menottes.

Tiens enlèves les si elles te gênent tant que çà. Au fait j'ai menti à Titus, je m'appelle bien Eos, mais je ne suis pas Marchand. Je suis un serviteur de la Déesse Athéna et je cherche à recruter des jeunes gens pour les former. Ah oui je t'ai aussi menti, pas de vie agréable au bout du chemin.

Alpharius était bouche bée, il ne pensa même pas à retirer ses menottes. Il finit cependant par répondre.

Former des jeunes pour quoi ?

Pour contrôler le pouvoir des étoiles.

Je serais libre ?

Eos observa le jeune garçon, puis garda un temps de silence avant de répondre.

Non.

Alpharius baissa les yeux, présentant toujours aussi peu de dynamisme qu'à l'accoutumée. Ainsi même cet homme ne fera pas de lui une personne capable de décider de son propre destin.

Tu ne seras pas libre… Mais tu pourras aider d'autre à l'être…

Pour la première fois Alpharius eut une sorte de lueur dans le regard, il sembla s'intéresser vaguement à ce que disait Eos. Celui-ci continuât.

D'après moi, seul quelqu'un qui connaît l'injustice peut se targuer d'en protéger les autres. Je te donne l'opportunité de défendre la justice et la liberté au service d'Athéna.

• Athènes, Empire Romain 442 après Jésus Christ

Alpharius s'écroula sur le sol, le corps couvert de blessures. Dans les tribunes Eos ne cillait pas, il n'avait pas de préférences pour l'un ou l'autre de ses protégés, et tout les prétendants au titre de chevalier de ce camp étaient de près ou de loin ici de son fait. Au fond de lui il ne pouvait cependant s'empêcher de penser au petit garçon qu'il avait recueilli 6 ans plutôt dans ce centre de formation.

Il avait beaucoup souffert, un petit esclave sans grandes qualités, jeté au milieu de guerriers et de champions avides de victoire. Car oui l'enjeu n'était pas n'importe lequel. Le Sanctuaire cherchait à recruter un Saint digne de revêtir l'armure sacrée du Bélier. Si déjà devenir chevalier était un immense honneur, devenir membre de la garde personnelle d'Athéna et servir parmi les douze chevaliers d'or était d'un prestige dont peu d'hommes sur terre étaient capable d'imaginer l'ampleur. Cela expliquait que la compétition soit bien plus rude que la normale, et aussi le nombre de morts élevé parmi ceux qui n'avaient pas eut la force de survivre au terrible entrainement.

Seule sa détermination à jouir d'un semblant de pouvoir sur la liberté, si ce n'est la sienne au moins celle des autres, avait poussé Alpharius assez loin dans ses retranchements pour tenir jusqu'à l'examen final. Il savait par ailleurs que s'il échouait, son destin s'arrêterait là et qu'il n'aurait pas d'échappatoire, il serait condamné à servir de larbin au sanctuaire jusqu'à la fin de ses jours sans espoir d'influencer l'avenir de l'univers. Une menace sous-jacente suffisante pour affirmer encore plus son désir de gagner l'armure d'or.

Pour ce faire il dut évidement renforcer son corps, mais ce n'était pas tout, en effet si développer ses muscles suffisait à devenir chevalier il n'y aurait certainement pas assez de constellations dans le ciel, et les dieux trimeraient nuit et jours pour confectionner de nouvelles armures. Ce qui différencie le commun des mortels des Saints c'est la Cosmo Energie. Un concept qu'Alpharius eut du mal à maîtriser dans un premier temps. Et dans ce cas il n'était pas le seul, car parmi ses rivaux peu de gens parvenaient à s'éveiller à cette puissance mystique, et encore moins la contrôler en développant le 7ème sens. C'était pourtant une condition sine qua non à la possession de l'Armure du Bélier, car il ne pouvait exister de Chevalier d'Or ne maîtrisant pas parfaitement sa Cosmo Energie.

Ce fût d'ailleurs un obstacle important pour Alpharius qui parvint très tard à s'éveiller au 7ème sens, affrontant de manière chaotique ceux qui le maitrisait et subissant de graves blessures. Là où les plus faibles succombaient où désertaient, il tenait bon pourtant, avec l'obstination d'un bélier.

C'est un soir d'hiver, alors qu'il venait de subir une énième défaite, que le déclic se produisit. Il était étendu sur le sol glacé, au milieu de l'arène, observant la voute étoilé. Fixant avidement sa constellation protectrice. Eos était là aussi le regardant sans bouger.

Te rappelles-tu de ce que je t'ai expliqué ?

Alpharius ne répondit rien. Il avait entendu 100 fois ce cours, ce n'était pas pour autant qu'il parvenait à l'acquérir. Comment pouvait-il cerner un concept aussi farfelu que le fait de posséder le cœur d'un univers au fond de soi ? Alors pour compenser il s’entraînait physiquement, deux fois plus que les autres. Là où les aspirants chevaliers brisaient la roche à coup de Cosmo Energie, Alpharius tentait de le faire par sa simple force, ceci-dit l'efficacité de ce procédé était loin d'être son point fort. Alpharius se releva, son visage aussi neutre qu'à l'accoutumée. Il se posta au milieu de l'arène et fixa Eos. Puis il s'adressa à lui.

Pourquoi m'avoir choisit ? Si vous vouliez quelqu'un qui connaît l'injustice n'importe quel esclave aurait fait l'affaire.

Eos l'observa un instant avant de baisser les yeux en souriant. Après toutes ces années ce jeune homme n'avait toujours pas cerné pourquoi il était là.

Prends le comme un signe du destin, c'est vrai que n'importe quel esclave aurait fait l'affaire. Mais connais-tu la différence entre toi et un autre ?

Alpharius ne cilla pas, sachant pertinemment que son maître n'allait pas se faire prier pour répondre à ses propres questions.

Ton âme n'est pas celle d'un esclave. Tu as refusé ta condition toute ta vie. Même aujourd'hui si tu vas de l'avant c'est pour y échapper. C'est ta détermination, cette volonté d'airain qui m'a fait te choisir.

Mais même ici je suis un esclave, je ne suis pas un Bélier, je suis un mouton, je fais ce qu'on me dit, je mange ce qu'on me donne. Et en prime je vis l'enfer chaque jour lors des entrainements. Cette vie est même pire qu'une vie d'esclave.

Te considères-tu vraiment comme l'esclave d'Athéna ? Pars-tu avec des réticences vis-à-vis de ton statut, comment pourrais-tu faire exploser le Cosmos en toi si tu pars à reculons ? Si tu ne te donnes pas corps et âme à la déesse alors jamais tu ne seras chevalier. Athéna ne cherche pas des serviteurs, elle cherche des alliés...

Eos fronça les sourcils puis se détourna et quitta l'arène, laissant Alpharius seul sous le ciel étoilé. Ce dernier resta longtemps là à fixer l'endroit où se tenait son maître. Il réfléchissait, certes il n'était pas libre, il ne le serait jamais, mais cela faisait-il de lui un esclave ? Non il était ici de son plein gré, on ne lui avait pas prit sa vie il l'avait offerte. Il ne devait plus se préoccuper de son statut car sa destinée était dans les mains de sa déesse à présent.

Alpharius rouvrit les yeux, retombant dans la douleur et le bruit de la foule qui observait le combat. Son adversaire était un colosse, aussi massif que lui, mais ayant au moins le double de son âge. Il se nommait Théodoric et venait du pays des Goth loin au nord ouest. Il riait devant la faiblesse de son pathétique rival qui gisait sur le sol depuis une bonne minute.

Ach, ya, je moi rappeler maintenant, tu es le petit qui passait son temps à faire la musculation. Ca être vrai muscles, ya mais ca pas donner ta victoire !

Le germain serra les mains ensemble en se concentrant au maximum. L'énergie jaillissait presque de son corps.

Ce coup pouvoir même briser une armure sans problème !

Il se lança alors à l'assaut, bien plus vite que ce qu'un homme normal pourrait voir. Il y'eut un flash lumineux, puis une giclée de sang sur le sol. Etrangement Alpharius était toujours debout, et le goth également. Ce dernier se retourna en tremblant vers son jeune adversaire, le sang coulant de sa bouche.

Ach mais c'est impossible tu ne peux pas …

Maitriser le 7ème sens ? Te rappelles-tu des règles pour participer à ce tournoi ? Seul un homme maitrisant sa Cosmo Energie à la perfection peut prétendre porter l'Armure d'Or …

La main d'Alpharius était portée vers l'avant comme s'il tenait quelque chose, ses doigts dégageaient de la fumée, qui se dissipa quand il referma son poing. Sans se retourner il continua.


Le Goth eut les yeux qui se révulsèrent, puis il tomba sur le sol, inconscient mais toujours vivant. Alpharius ferma les yeux en quittant l'arène.


Ce souvenir, cette phrase résonna dans l'esprit d'un jeune homme de 24 ans, vêtu d'une magnifique armure sacrée, observant le ciel au-dessus du Sanctuaire qui l'avait accueilli et qu'il avait juré de protéger. Il était à présent un Saint d'Athéna, ceux qui surgissent quand le mal se réveille qui peuvent fendre le ciel de leurs poings et briser la terre sous leurs pieds.

Citation :

Note pour le Staff.

Je sais que quelqu'un a posté avant moi pour le Bélier, mais je tente le coup comme il n'a pas encore terminé sa présentation, cela ne coûte rien d'essayer, et j'ai fait en sorte de laisser planer le doute sur l'armure dans l'histoire pour pouvoir facilement en changer en cas de refus.

Pas de problème, j'avais prévu de détailler la période d'entrainement, mais j'ai préféré l'occulter et la remplacer par le dernier paragraphe au cas ou je serais refusé au profit d'Abel pour pouvoir rapidement faire la transition sur une autre armure. j'apporterai les modifications demain.

Pareil pour l'Avatar, il n'est là que le temps que j'en trouve un plus potable (y'a pas des masses de chauves intéressants dans l'univers de la japanimation lol)

En tout cas merci

Edit : En fait non, je veux pas prendre de risque je vais sacrifier un peu de sommeil et le faire ce soir lol

Y'avait aussi Tenshinhan mais le troisième oeil est un peu plus problématique...

http://www.zerochan.net/Madarame+Ikkaku

j'avais pensé à Ikkaku mais il a le visage trop fin à mon gout. Quand à Krillin no Comment pour avoir un charisme latent un nez est indispensable XD

Mais je vais continuer mes recherches, quitte à retoucher des images pour les adapter à ma vision du personnage.

Merci en tout cas ^^

Et voilà j'ai rajouté la partie manquante. Je vais pouvoir vous laisser lire et aller me coucher ^^

Parfait.

Je te valide donc avec la Gold Cloth du Bélier, en plus des 1200 points qui te sont impartis pour mettre ton deck au point.
Je t'invite aussi à poster dans les plus brefs délais à la réunion qui se tient actuellement.

Bon RP sur SSU !

Bienvenue sur SSU !

Tant que j'y pense n'oublie pas d'ajuster ta feuille de personnage.