Marina Messages : 424 Renommée : 241
Feuille de personnage
Armure: Scale de la Sirène Maléfique
Rang de l'Armure: Or
Expérience: 43  |  Sujet: Orpheus, Général de la Sirène Maléfique, Légat de Poseidon  Sam 17 Sep - 0:52 | |
| HRP:Age: 27 ans
Quelle est votre expérience des forums RP ? RoS, BU, NU et j'en passe. En somme, quelques années à RP sur plusieurs forum à succès sous les pseudos de Kiryû Shinjirô et Borick principalement.
Comment avez-vous connu SSU ? Adrien et les potes qui m'ont promis de me pondre un forum qui claque en moins d'une semaine. Pari tenu ! Faut dire qu'ils avaient pas le choix aussi... RP:Nom : Orpheus
Âge : 25 ans
Armure demandée : L'écaille de la Sirène Maléfique, Général du pilier de l'Atlantique Sud.
A quoi ressemble votre personnage la première fois qu'on le rencontre ?
Lorsque l'on croise Orpheus pour la première fois, on se demande clairement ce qui peut lui traverser le crâne. Froid, presque vicieux parfois, il ne montre aucune compassion envers les autres, qu'ils soient alliés ou ennemis. Ne portant qu'un intérêt restreint à ceux qui l'entourent, il a tendance à ne faire confiance qu'aux Marinas dévoués à Poseidon. Tacticien hors pair, il préfère prendre du recul lorsque cela s'avère nécessaire pour prendre la bonne décision. Il ne se confie à personne d'autres qu'au Seigneur des mers lui-même. Et si son statut est mérité de par sa puissance et son ingéniosité, il n'en reste pas moins imbu de sa personne. A ses yeux, les autres ne sont rien d'autres que des pions à placer pour empêcher les ennemis de leur monde de s'emparer des richesses des profondeurs. Il faut dire qu’être sous les ordres de Poseidon et remplir la tâche qui est la sienne, ça n'aide pas à être très conciliant. Surtout que le Dieu des Océans n'est pas réputé pour sa tolérance extrême.
Physiquement, lorsqu'il ne porte pas sa traditionnelle écaille de la Sirène, il apparaît comme quelqu'un de simple, entrant dans les standards de son époque. Il ne joue évidemment pas sur son apparence pour imposer ses choix mais bel et bien sur son intelligence. Ou sa fourberie selon les mauvaises langues. Il porte en permanence un bandeau sur son œil droit, preuve de son implication dans les projets de Poseidon. En effet, il a de lui même offert cet organe en sacrifice afin de démontrer sa volonté et sa foi inébranlable envers son Dieu. Son visage est donc plutôt fin, encadré par plusieurs mèches qui lui tombent sur le front et qui lui couvrent en partie son bandeau. Au delà de ça, il n'est pas cruel sans raison et voue simplement son existence à sa mission qu'il considère comme souveraine.
Mais lorsqu'il revêt enfin l'écaille qui fait de lui le Légat de Poseidon, son comportement change. Plus vicieux encore, il ne laisse simplement aucune chance à ceux qui osent défier son Seigneur. L'écaille d'Orichalque lui confère une protection efficace, soulignant plus encore la cruauté dont il peut faire preuve lorsque cela s'avère nécessaire. Deux ailes apparaissent dans son dos, apparemment inutiles, tandis que son armure est complété d'un casque du même élément et d'une flûte particulière. Flûte dont il faut se méfier puisque c'est de cette dernière qu'il tire son véritable pouvoir. Ce n'est pas sans raison si son écaille représente les fameuses sirènes enchanteresses, capable de conduire ceux qui écoutaient leurs chants jusqu'à elles afin de leur permettre de les dévorer.
Histoire :
Il y avait bien longtemps que les Marinas ne s'étaient pas regroupés ainsi. Les ordres de Poseidon demandant que ses armées se préparent n'avaient laissés personne indifférents. La guerre était dans toutes les têtes et personne ne se faisait d'illusion quant aux raisons qui avaient provoqués ce rassemblement. Si les gardiens des différents piliers n'avaient jamais faillis à leur tâche, les autres Marinas avaient été laissés quelque peu tranquille ces dernières années.
Mais en ce jour, ce n'était pas cet attroupement qui avait semé le trouble dans les cœurs des soldats du Dieu des océans... Depuis plusieurs heures maintenant, une étrange mélodie avait envahie l'empire dans son ensemble, une musique envoutante qui avait fait taire les interrogations de tous. Réduire la grogne populaire à un simple chuchotement presque inaudible, peu de personne était capable de cela. Un air connu des anciens soldats et des généraux s'élevait du Pilier de l'Atlantique Sud, fief du Général de la Sirène Maléfique. Le signal du Légat. Et chacun attendait désormais que ce son cesse afin d'en apprendre plus. Comment faire autrement en même temps ?
Là, debout près de son pilier, Orpheus jouait les notes avec une justesse absolue, yeux fermé, son esprit tourné tout entier vers un souvenir très précis. Ce jour où son écaille l'avait choisi. Ce jour où son destin avait été changé et où il était devenu le Légat de l'une des divinités les plus puissantes de ce monde.
----- Dix ans auparavant, sur une île inconnu -----
- Lâche ça où je te jure que je te tue !
Des mots durs pour un adolescent d'une quinzaine d'années. Sur la plage, les autres jeunes gens se précipitaient déjà autour des deux acteurs de cette scène, formant une barrière humaine et empêchant quiconque de sortir de ce étau. Seule échappatoire : la mer sur leur gauche. Celui qui venait de proférer cette menace jetait un regard haineux vers son vis-à-vis, tendant son bras dans sa direction, dévoilant une main semblable à la serre d'un aigle. Ilian de son prénom. Une force de la nature comparée à ses camarades qu'il dépassait d'au moins une tête. Et ce qu'il demandait, généralement, il l'obtenait. De gré ou de force. Mais voilà, depuis plusieurs semaines l'arrivée de ce nouveau changeait ses habitudes. Personne n'avait jusque là osé le défier. Personne sauf le petit nouveau. Orpheus. Celui dont tous se moquait à cause de sa flûte traversière, instrument dont il jouait en permanence, où qu'il aille, et qui avait tendance à agacer.
Ramenant contre lui l'objet qu'il chérissait tant, Orpheus adressa un sourire narquois à celui qui se dressait devant lui. Il le savait pourtant qu'il n'aurait aucune chance face à ce type et ses "amis". Seul contre tous. Lui qui était si faible physiquement, il était clair qu'il risquait de prendre cher. Mais c'était plus fort que lui. Cet instrument représentait tellement de choses à ses yeux qu'il lui était simplement impossible de s'en séparer. Même si pour cela, il risquait une trempe. Et comme si ce n'était pas suffisant, il n'était pas du genre à la fermer. Même devant plus fort.
- Elle ne te servira à rien, Ilian. Tu ne saurais pas t'en servir. Et même si c'était le cas, tu ne mérites de toute façon pas d’avoir entre tes mains balourdes cette œuvre. Laisse moi maintenant !
Mais même s'il semblait sûr de lui, Orpheus n'osa pas s'avancer. Il le savait, il s'agissait ici des mots de trop. L'air mauvais d'Iilian s'était accentué, comme s'il n'avait attendu que ça. Enfin une bonne occasion de faire taire celui qui le défiait depuis trop longtemps. Autour d'eux, les autres gars ne pipaient pas mots. Étaient-ils impressionnés par le courage d'Orpheus ou tout simplement surpris de voir une telle folie ? Il ne saurait le dire.
- Je vais te faire passer l'envie de rire ! Attrapez-le !
Cette fois, il n'avait plus le choix. Esquivant les premiers bras qui tentaient de le maintenir prisonnier, Orpheus se précipita vers l'océan. L'idée folle que les autres n'oseraient jamais le suivre s'il s'éloignait du rivage le prit... Mais il avait oublié un élément important : les habitants de l'île avaient l'habitude de nager et ils ne craignaient pas de s'aventurer loin des plages. Après tout, leur île n'était-elle pas sous la protection de Poseidon en personne ? Trois personnes l'interceptèrent alors qu'il avait de l'eau jusqu'au torse. Une main puissante lui attrapa alors les cheveux et lui plaqua la tête sous l'eau. Les quelques secondes durèrent des heures pour Orpheus qui n'avait pas eu le temps de prendre une bouffée d'air. Il but la tasse. Enfin il put reprendre de l'air. Le sel lui avait envahi la gorge et ses yeux le piquait mais il reconnut le visage d'Ilian qui semblait prendre un malin plaisir à le torturer de la sorte. Il n'avait pas hésité une seule seconde à le suivre dans l'eau. Et le jeune garçon regrettait déjà de s'être montré si peu malin.
Toussant et essayant de recracher l'eau qu'il avait avalé, il sentit que son tortionnaire allait retenter l'expérience. Il eut tout juste le temps de fermer les yeux et d'avaler une goulée d'air alors que sa tête replongeait dans la mer. Plus profondément cette fois puisque son visage s'enfonça dans la vase et les algues. Désagréable sensation que voilà. Et pis que tout, c'était cette impuissance qui lui tordait les boyaux. Mais alors qu'il hésitait à lâcher prise, une étrange sensation de chaleur se mit à l'envahir. Une sorte de bien être qu'il ne ressentait d'ordinaire que lorsqu'il jouait de la flûte. Et alors que le manque d'oxygène commençait à le faire sombrer dans l'inconscience, il perçut un son enchanteur provenir du fond des océans. Un son si puissant qu'il semblait faire écho à la chaleur qu'il avait ressenti précédemment.
Il ne se réveilla que deux jours plus tard, allongé dans une sorte de vieille chaumière délabrée. Alors qu'il tentait de se lever, la silhouette d'une jeune femme se détacha de l'ombre et se positionna à ses côtés, enroulant son bras autour des épaules du jeune homme afin de l'aider à s'assoir. Sa gorge le brûlait et il tenta de prendre la parole mais rien n'arriva.
- Reste calme, Orpheus ! Tu as échappé de peu à la mort et ton corps se remet doucement. On peut dire que tu as eu de la chance, tu as réagi à l'appel de notre maître. Il y a longtemps que cela n'était pas arrivé. Reste à savoir si "elle" t'acceptera véritablement !
Ne comprenant pas un traître mot à ce qui venait d'être dit, Orpheus détailla du regard la jeune femme qui s'était maintenant avancé dans la pièce. Écarquillant les yeux, il constata alors qu'elle portait une sorte d'armure argentée, le genre d'armure qui ne passait pas inaperçu et qui pourtant ne disait rien au jeune homme. Décryptant les mots un à un, il s'arrêta sur le terme "maître". Prenant peur, il se leva mais son dos buta contre le mur de la chaumière. Le regard de la femme se braqua sur lui et de nouveau il sentit une sensation étrange dans le creux de son estomac.
- Notre maître ? Je n'en ai aucun. Je ne sais même pas ce qui m'est arrivé... Je me souviens juste d'avoir été attaqué par cette bande de brutes et d'avoir été à deux doigts de me noyer. J'étais si proche de la mort que j'ai même eu des hallucinations. Un chant ! Ou plutôt une musique, comme celle d'une flûte !
C'est là qu'il se rendit compte de la disparition de son bien le plus précieux. Tâtonnant son corps à la recherche de sa flûte, il semblait de plus en plus affolée. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais gardait en mémoire la mélodie qu'il avait entendu dans sa tête alors qu'il perdait connaissance. Comme si ce simple détail pouvait avoir une importance capitale pour lui. Le sourire de cette femme en armure ne le rassurait d'ailleurs pas.
- Oh si, tu as un maître. Le tien se prénomme Poseidon. Et ce n'était pas une hallucination. Tu as bel et bien entendu cette mélodie. Une mélodie que seule une personne au monde pouvait percevoir. C'est cela qui a précipité mon arrivée. Et qui t'as sauvé la vie également. Seul le possesseur légitime de cette écaille pouvait percevoir son appel. Poseidon recherche activement ceux qui seront capables de défendre ses intérêts. Et visiblement, même si tu n'es pas encore prêt, tu es sur sa liste. Pour ce qui est de tes affaires, elles ont toutes disparues. Mais ne t'inquiète pas... J'ai déjà châtié ceux qui s'en sont prit à toi. Ils ne pourront plus jamais faire de mal à personne.
Il ne connaissait pas cette femme mais les propos qu'elle tenait sonnait étrangement vrais à ses oreilles. Que les dieux existent, Orpheus n'en avait jamais douté. Mais que l’un d'eux puisse lui prêter de l'attention, c'était simplement inconcevable. Cette femme devait simplement être folle... Pourtant, lorsqu'elle disait que la menace avait disparue pour toujours, il la croyait. L'aura qu'elle dégageait ne pouvait pas permettre le moindre doute : elle était capable de tuer de sang-froid et visiblement, elle ne s'en était pas privé. Il était perdu, ses jambes ne le portaient de toute façon plus et il s'affala au sol.
- Que vais-je faire maintenant ? Qu'attendez-vous de moi ?
Elle s'approchait de sa position et se pencha sur lui, lui déposant au passage un baiser sur la joue. Alors qu'elle se redressait, elle lui glissa ces quelques mots :
- Pour le moment, repose toi. Car demain je te conduirai face à celle qui t'a appelé. Et c'est seulement face à elle qu'on saura si ton destin est bien de rester aux côtés de notre seigneur et maître. Si elle s'est trompé sur toi, alors tu n'auras plus à t'inquiéter de ton sort.
Ce qui n'était pas fait pour le rassurer... Mais ça, il n'y pouvait de toute façon plus grand chose !!
----- Trois ans après, Sanctuaire de Poseidon -----
Le Général de la Sirène maléfique se releva, casque sous le bras, son "arme" accrochée sur son flanc droit. La mine fermée, il attendait que son Seigneur lui explique les raisons de sa présence en ces lieux. Depuis que l'écaille avait décidé de faire d'Orpheus son unique possesseur, il n'avait eu de cesse de s'entraîner et de parfaire son art pour rendre hommage à Poseidon. Et si les combats étaient légion pour maintenir le monde sous-marin sous le contrôle - comme pouvait l'attester le bandeau qui barrait son visage - il restait encore à voir de nombreuses choses. Il fallait admettre que son propre comportement avait évolué avec le temps. Plus froid, il était réellement devenu le bras armé de son maître. Sans contester le moindre de ses ordres.
Le seigneur Neptune, de son nom romain, n'avait pas vraiment pour habitude de convoquer le Général. Le cosmos qui se dégageait de son être était capable de paralyser tout ceux qui le croisaient. Alors qu'il n'était pas vraiment présent "physiquement". Orpheus le savait mieux que quiconque puisque lui-même s'était retrouvé dans une telle situation la première fois que son regard avec croisé celui du maître des lieux. Trident en main, signe de sa puissance incontestable, son regard semblait sonder l'âme du Général de la Sirène.
- En ce jour, je fais de toi mon Légat. Outre le fait de me représenter sur terre, tu auras à charge mon armée et la protection de mon Royaume. Je n'accepterai aucun écart de conduite, Orpheus.
Il l'écoutait et commençait à saisir la raison de sa convocation soudaine. Toujours silencieux - on ne prenait la parole devant Poseidon seulement lorsque celui-ci vous l'ordonnait - il entrevoyait les conséquences de cette décision. Il prenait tout simplement les commandes de l'armée de Neptune. Une armée redoutable et implacable. Une armée qui restait néanmoins en construction, puisque que nombre de Squale n'avait pas encore été attribuée.
- Je t'ai bien observé depuis ces dernières années. Et j'en suis arrivé à la conclusion suivante : tu es de loin le plus apte pour me représenter. Le pouvoir d'Athéna et d'Apollon diminue. Lorsqu'il aura atteint son seuil critique, nous pourrons alors prendre notre revanche ! Pour cela, il nous faut poursuivre notre campagne de recrutement. Apollon se laisse aller et ses armées s'amenuisent en même temps que son empire décline. Athéna reste prête à défendre ce monde qu'elle chérie tant mais Arès s'éveille et son objectif n'est pas très éloigné du mien. Qu'ils s'entretuent et alors la victoire nous reviendra ! Pour le moment, je dois encore jouer le jeu auprès de mon frère... Je te confie donc la bonne gestion de mon royaume et je te transmettrais mes ordres le moment venu. Va, Orpheus, et remplie la mission qui est la tienne !
Le trident rayonna et l'écho de sa voix se répercuta sur les murs d'Orichalque autour du Général. Il était difficile d'être plus clair. Abaissant légèrement la tête en signe de remerciement, Orpheus attendit que l'image de son seigneur se dissipe complétement. Voilà qu'il venait de devenir le Légat du royaume de Poseidon. Remettant son casque sur sa tête, il se dirigea vers la sortie, l'esprit déjà tourné vers les plans de conquête de son dieu.
----- Retour au présent -----
La musique cessa. Ouvrant de nouveau les yeux, Orpheus poussa un petit soupir de satisfaction : son armée était fin prête et Poseidon venait de lui donner l'ordre ultime. L'heure de faire avancer les projets du royaume marin était enfin arrivée. Près de lui se trouvait un des Marinas du royaume. Un genou au sol, il attendait ses ordres.
- Fais dire aux autres Généraux que je désire m'entretenir avec eux. Immédiatement !
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| Invité
| | Sujet: Re: Orpheus, Général de la Sirène Maléfique, Légat de Poseidon Dim 18 Sep - 0:17 | |
| Il y a quelque chose qui me choque dans ta présentation - Citation :
- pollon se laisse aller et ses armées s'amenuisent en même temps que son empire décline. Athéna reste prête à défendre ce monde qu'elle chérie tant mais Arès s'éveille et son objectif n'est pas très éloigné du mien.
J'ai envie de te dire : petite salope je te valide au niveau 3 avec 1200 points d'expérience... C'est la GUERRE !!!
(pas le Berserker hein, la vraie) |
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PNJ Messages : 1226 Localisation : Citadelle d'Arès Renommée : 627
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Armure: Prophète d'Arès & Cardinal de la Mort
Rang de l'Armure: Or
Expérience: 0 | | Sujet: Re: Orpheus, Général de la Sirène Maléfique, Légat de Poseidon Dim 18 Sep - 0:22 | |
| Moi j'aime bien ce passage ! °_°
Bienvenue copain ! Faudra qu'on cause j'crois ! J'ai des cookies et tout en plus... |
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