Age:J'ai 17 ans
Quelle est votre expérience des forums RP ? Vous un êtes mon premier forum de rp
Comment avez-vous connu SSU ? J'ai connu se forum grâce a Alkeos que je connait dans la vie réelle ^^
Nom : Etlios
Âge : 22 ans
Armure demandée : La marina de l'orque
A quoi ressemble votre personnage la première fois qu'on le rencontre ?Etlios est, de premier abord, quelqu'un de distant est de très stoïque. Il ne souhaite pas éprouver de sentiments, car il pense que cela est une faiblesse. Il a des cheveux noirs et courts et sa peau est légèrement foncée. Mais sa plus grande particularité physique est qu'il possède des yeux d'un noir ébène et son regard est aussi tranchant qu'une lame. Son nez est petit et fin et suis parfaitement les lignes de son visage sibyllin et dur.
Sur le point de vue physique il mesure un mètre quatre-vingt-douze et pèse dans les soixante-dix kilos. Il possède une forte musculature qui lui permet d'endurer les plus grosses souffrances physiques. Il détient aussi de nombreuses marques sur son torse et ses bras résultant de ses nombreux combats.
Etlios a une allure fort altière. Toujours droit comme un i, prêt à bondir pour aider ses camarades, il possède, malgré sa musculature développée une excellente vitesse de pointe. C'est cette même façon de se tenir qui frappe les gens qui le voient pour la première fois. Elle dénote quelqu'un de loyal et fier de servir son dieu et ses amis.
Ce qui vous surprendra aussi chez ce jeune homme, c'est une voix grave aux sonorités profondes. Malheureusement vous ne l'entendrez que rarement car il ne parle que pour dire des choses importantes. En effet, Etlios ne s'attache pas aux choses futiles. D'où notamment aussi ce manque de sentiments et de tact qui le caractérise. Dire les choses telles qu'elles sont, voilà ce qu'il aime le plus.
On peut remarquer aussi qu'il porte une longue épée noire à deux mains, témoin d'un passé qu'il ne souhaite pas oublier. Cette épée mesure environ un mètre soixante pour une largeur de soixante centimètres. Elle est donc imposante et pèse son poids. Si Etlios arrive à la soulever c'est grâce à la puissance qu'il a acquise pendant son entraînement. Quand il la range, elle est dans un fourreau et postée dans son dos.
Histoire : Etlios est né un jour d'hiver, dans les plaines de Grèce. Il n'avait ni mère, car celle-ci mourut lors de l'accouchement, ni père. Il vivait avec le dernier membre de sa famille qui lui restait, c'est-à-dire sa tante Alcéé. Tout jeune déjà il se sentait l'âme d'un héros et cela allait influencer grandement sur son avenir.
Vers l'âge de ses 12 ans il vit sa tante se faire assassiner devant ses yeux par un brigand. Depuis ce jour il décida de ne plus jamais faillir est de toujours protéger ses proches. Peu de temps après ces événements, il décida de partir vers sa destinée qui était, selon lui, de protéger toute personne qui méritait de survivre en ce monde de crime et de violence interminable.
Il parcourut le monde romain de villages en villages et proposait son aide aux citoyens en péril à cause de toutes ces guerres qui faisaient désormais partie intégrante de ce monde. Il ne demandait ni tribu ou quelque récompense quel qu'elle soit, la seule chose qu'il demandait aux personnes qu'il aidait était la suivante :
- Ne vous rappeler jamais de moi ou bien vous le paierez de votre vie.Cela étonnait ceux et celles qu'il sauva durant son périple, mais cela n'était pas injustifié, car Etlios avait un très sombre secret...
Mais malgré tous ces secrets, quelqu'un finit par le remarquer. Diogène, un ancien spartiate, qui avait décidé de s'exiler pour fuir les combats. En effet, celui-ci ne pouvait plus comprendre le fait que des hommes venant d'un même monde se battent pour des terres. Diogène dit un jour à Etlios :
- L'homme a soif de richesse et de pouvoir, mais il ne voit jamais la souffrance et le désarroi qu'il provoque pour cette soif qui ne connait jamais de fin.Diogène accepta de former Etlios, à la simple condition que celui-ci accepte qu'il ne serait plus jamais le même, mais aussi qu'il risquerait de perdre toute notion de bonheur ou d'amour. Suite à cela Etlios s'avança et lui répondit droit dans les yeux :
- Je serais prêt a tout pour protéger mes proches, quitte à ce que cela me coûte une partie de mon âme.Diogène fut surpris par cette réaction aussi soudaine et accepta d'initier Etlios. Cet entrainement repoussa les limites du jeune garçon. Diogène était intransigeant avec lui. Il n'y avait pas de place pour l'échec. Il avait beau avoir déserté les rangs spartiates, il n'en restait pas moins un de ses anciens soldats. Par conséquent la discipline était rude et chaque transgression assortie d'une punition. Chaque épreuve qu'il lui faisait subir aurait brisé un homme ordinaire, mais Etlios lui prouva qu'il avait une volonté inflexible et à chaque chaque échec il recommençait encore et encore, cela lui valut quelques cicatrices qu'il a encore aujourd'hui. Mais Diogène ne se contentait pas de lui inculquer les arts du combat. Il voulait aussi que son disciple maîtrise son esprit. S'il n'y a aucun sentiment, il n'y a pas d'échec possible. Chaque chose entreprise devait l'être avec une volonté inflexible. Chaque chose devait être parfaite et accompagnée d'un esprit sans faille. Cette partie de son entrainement fut certainement celle qui le marqua le plus et on peut encore le voir aujourd'hui.
Au final après une longue période Etlios fut près à recevoir le dernier cadeau de Diogène une gigantesque épée d'un noir aussi profond et pur que les abîmes de l'océan, elle mesurait près d'un mètre soixante et une largeur de soixante centimètres. Elle reflétait parfaitement son maitre : puissante et imposante. Etlios s'inclina, son arme mise droit devant lui et dit à Diogène :
- Vous m'avez appris à me surpasser, ainsi qu'à ne jamais laisser la peur ou bien l'hésitation prendre le dessus. J'ai appris grâce à vous à protéger la vie à n'importe quel prix et pour tout cela je vous remercie maître Diogène.A ce moment Diogène su qu'il pouvait partir et lui dit :
- Etlios tu es et tu sauras le seul à savoir tout ce que je t'ai enseigné. Quand j'ai décidé de te former j'ai su que tu serais le seul à pouvoir maitriser cette épée ainsi que tout ce que je t'ai enseigné. Mais comprend bien une chose, tout ce que tu feras ne sera dictée que par tes agissements et ta volonté et personne ne devra s'interposer ou bien autrement tu seras damné à jamais. Nombre de personnes ont possédé cette arme. Moi-même je l'ai détenue. Mais la plupart de ses porteurs sont voués a l'exil car elle renferme bien plus de secret que tu ne pourrais le croire.Peu de temps après Diogène disparu et Etlios partie vers sa destinée avec les derniers mots de son maitre qui résonneront encore et toujours au plus profond de son âme. C'est toujours en respectant cet enseignement que le jeune homme s'en alla pour défendre les peuples opprimés. Il rencontra bon nombre de valeureux guerriers. Mais aucun ne pouvait rivaliser avec ce garçon devenu une véritable machine de défense. Son arme énorme pourfendait ses opposants alors que sa puissante volonté lui permettait de rester debout malgré les plus graves blessures. Cependant, ce jour-là en se levant, il ne pouvait pas savoir que sa vie allait changer radicalement.
Ce matin-là, dans le petit village où il avait élu résidence, car il avait entendu dire qu'un homme terrorisait la population de ce hameau, il fut réveillé par des cris atroces. Dans la rue, le long des falaises, ou sur la place principale du village, de multiples cadavres répandaient un liquide carmin sur le sol. Le jeune homme pris donc son attirail de combat et descendit massacrer ces sauvages. Tous portaient des armures sombres et pillaient le village. Seul les femmes étaient épargnées et emprisonnées dans une caravane. Etlios courut, pourfendant ceux qui se mettaient en travers de son chemin. Mais bientôt, une masse imposante, presque la même carrure que son ancien maître, s'opposa à lui. Il tenta de le prendre de vitesse mais rien n'y fit. L'homme était aussi rapide que fort. La bataille qui s'ensuivit fut rude. Chaque coup entamaient la lame de l'autre. Chaque esquive ou parade se faisait au millimètre prêt. Le combat dura prêt d'une heure. Exténués, les deux guerriers se lancèrent dans un ultime assaut. La lame d'Etlios transperça le ventre de son adversaire. Celle de son ennemi se figea une fois l'épaule droite du jeune garçon transpercée.
Les deux guerriers s'effondrèrent. L'un mort, l'autre à l'agonie. Les soldats restant, se débarrassèrent du corps d'Etlios en le jetant par-dessus la falaise. La mort du jeune garçon était alors assurée. Mais c'était sans compter sur l'intervention du Dieu des Océans. Quand il se réveilla, Etlios était étendu devant une immense battisse frappée du sceau de Poséidon. Un étrange spectacle se présenta alors à lui. Un immense dôme recouvrait un gigantesque sanctuaire. Au-dessus de ce dôme, la vie marine semblait suivre son court sans être gênée d'accueillir cette ville submergée.
Curieux, le garçon se porta plus avant et entra dans le temple dédié au dieu des mers. Plusieurs questions s'entre-choquaient dans sa tête. Comment faisait-il pour respirer ? Pourquoi sa blessure n'était plus visible ? Comment avait-il atterrit ici ? Pourquoi sentait-il une immense puissance émaner de ce lieu ? Qu'est ce qui pouvait bien l'y attirer ?
C'est avec toutes ces questions dans la tête que Etlios passa le parvis du temple. À l'intérieur, il resta bouche bée. Les colonnes étaient magnifiques, chaque dalle parfaite, le lieu semblait lui-même scintiller de splendide corail. Jamais si belle chose ne s'était présentée sous ses yeux. Bientôt il arriva dans une salle ronde avec de multiples piédestal. Chacun arborait une armure ou bien était vide. Étrangement, l'une d'elle, celle qui ressemblait à un orque, l'attirait plus que toutes les autres. Il s'en approcha assez pour la toucher et au contact du jeune homme, l'armure se scinda dans un gerbe d'étoiles bleue nuit et recouvrit chaque parcelle de son corps, laissant couler en lui ses souvenirs, son désir de protéger ces lieux et le seigneur Poséidon. La communion des deux êtres pris un certain temps. Etlios laissa comprendre à l'armure ce qu'il avait fait à la surface et lui jura de protéger ce lieu magnifique, ainsi que ses habitants, de toutes les agressions qu'ils pourraient subir. L'armure elle, laissa couler dans le jeune garçon toute sa puissance et sa connaissance du monde marin. Enfin le jeune garçon s'agenouilla et de sa voix grave et puissante jura fidélité au maître des lieux.