Passage à Thessalonique [pv Japheth]

Le couperet est donc tombé, hier soir en réunion sur skype avec la quinzaine de personnes présentes pendant les 2h qu'a duré la discussion (qui ont dérivés sur 3/4 par la suite ^^).

En faisant le constat de la situation actuelle puis le bilan du …

Ici seront stipulées toutes les armures remises en libre service après la perte de leur détenteur.

Citation :: Libération d'Armure
Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser indéfiniment des armures en les mains de joueurs inactifs. À partir de deux …

Et voila, il est temps de vous faire part de notre nouveau projet...

One Piece ShinSekai RPG !

www.shinsekai-rpg.com

Un forum One Piece, depuis le temps que la team en parlait et avait l'idée en tête il était temps de franchir le cap. Bien …

Pas de paroles inutiles. Pas de jugement, ou du moins le gardait-il pour lui et un regard perçant le monde alentour. La présence de Japheth du Cancer semblait de plus en plus apprécié du de son homologue voisin. Si Faeris se sentait plus vivant aux côtés d’ Orséis avec qui il avait enfin réussi à parler normalement sous l’inspection de l’astre de la nuit, il se sentait en cet instant tout simplement à l’aise. Ils voyageaient et marchaient pour accomplir leurs devoirs, quels qu’ils puissent être. En dehors des formalités visant à préparer le voyage, il n’avait pas demandé au « jeune Lion » s’il se sentait à la hauteur. Il avait, du moins le pensait Faeris, simplement estimé qu’il jugerai de ses compétences au moment opportun. Quelque part, cet homme lui rappelait clairement son dernier professeur. Cet homme d’une grande expérience qui, Jadis, avait été l’un des gardiens du temple du Lion. Pourtant, comment Japheth pouvait-il, si jeune, respirer tant de sagesse dans son simple regard.

Il ne pouvait répondre à cette question, mais peut-être qu’un jour viendrai ou ce mystère serai résolu. Bien que ces pensées ne furent que secondaires à son esprit car il restait concentré sur sa mission à venir. Certes, Japheth semblait bien plus habile avec les mots, mais chacun de ses faits et gestes auraient assurément un impact sur l’avenir du monde. Il devrai se montrer courtois et afficher une image qui, bien que correspondante à son rang, n’était pas celle qu’il pensait avoir de lui-même.

Il arrivèrent finalement dans une ville portuaire qui lui fut présenté comme la ville de Thessalonique, la petite sœur de Constantinople. Mais de ce qu’il savait, il n’était pire position que d’être le plus jeune. Presque un siècle plus tôt, la ville avait subit la colère du fondateur de la nouvelle Rome. Des dissensions avaient mené le peuple de Thessalonique, ville tout aussi importante que Constantinople, à s’offrir un désir de grandeurs. Le port et la position lui offrant une situation propice à l’expansion tant économique que Territoriale. Mais cette idée ne fut pas apprécié de l’empereur Flavius Theodosius Augustus qui fit raser la ville pour la punir de ses ambitions.
Cependant, le Lion d’Or ne faisait pas face à une ville dépérit, et bien que touché quelques centaines d’années plus tôt, elle avait déjà laissé germé sa splendeur et son influence.
Il n’ajouta rien et se contenta de profiter du spectacle, et observant chaque être qu’ils croisaient dans leurs route. Certains s’interrogeaient quant à l’étrange boite dorée qu’un des voyageurs semblait porter, et d’autres, aux regards plus malveillant s’imaginaient peut-être déjà l’avoir dérobé. Mais lorsque Faeris se mit en tête de les faire déchanter, il se souvint que la discrétion sur leurs véritable statut avait été l’un des mots d’ordres de son camarades.

Mais croire que le lion resterait immobile face à la lie de ce monde serait une méprise impardonnable.

- Quelle qu’ai put être son passé, un homme est toujours responsable de ses choix présents, avait-il prononcé à voix haute sans s’adresser particulièrement à son camarade. C’Est-ce que m’a enseigné mon maître Phoebus.

Ces simples mots étaient lancés telle une justification pour ses actes. Car dans le regard du Lion brillait intensément son cosmos Sauvage. Une pression si étonnante qu’un simple humain en serait effrayé sans réellement comprendre quelle fut la raison de cette terreur. Japheth n’avait pas pu ignorer cette pression, mais il n’en avait pas fait mention. Peut-être avait-il apprécié que Faeris se débarrasse des gêneurs sans avoir à prétendre utiliser une arme. Pour les personnes alentours, ce brigand de bas étages n’avait simplement pas eut le courage d’aller au devant de ses prétentions et, effrayé par sa propre faiblesse avait fuit pour ne pas tout perdre. Les deux voyageurs avaient eut une sacrée chance.

Puis ils descendèrent à une auberge. Ils eurent l’occasion de discuter, et Japheth feigna d’avoir besoin de repos.
Restant seul, Faeris se demanda pourtant s’il n’aurait pas du le questionner car peut-être que bientôt, il n’en aurai plus le temps. Mais le soleil se couchait et les voyages en mer n’étaient pas son fort. Il décida donc lui aussi d’aller se coucher, jusqu’au moment du départ.
Avant de clore ses yeux pour rejoindre le royaume des rêves, il fixa cependant le baume que lui avait « offert » Japheth. Visiblement ce dernier était au courant de son combat et de sa défaite face à Sokaris, mais d’un autre côté, il ne semblait pas le juger encore. Ce baume n’était qu’une manière de dire au lion que, comme le disait le vieux Phoebus, quel qu’ai pu être le passé d’un homme, il devait toujours s’assurer de prendre les bonnes décisions présentes.
Enfin, il s’allongea et ferma les yeux.

L

" Chevalier. Ta colère est un don du ciel, sauf que tu l'envoies contre ce qui est inutile. Tu dois apprendre à la maîtriser pour qu'elle soit efficace, c'est d'ailleurs la raison de ta défaite contre Céphée. Moi même j'ai perdu car j'avais perdu de vue qui j'étais, chacun doit suivre un chemin différent, tu dois trouver celui qui te permettra de sortir tes crocs pour tuer et non pas être tuer. "

C

A

" Allez ! On se réveille, une très rude journée nous attends. Il nous faut manger pour tenir jusqu'au soir, ramasses tes affaires, nous y allons. Je vais te laisser prendre le commandement dans cette ville, nous irons où tu veux, mais je voudrais que tu parviennes à rencontrer le Préfet de cette ville dans la journée, tu as jusqu'au coucher du soleil. Moi j'écouterai et te suivrai comme ton ombre. "

» Un bref passage.

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